Déclarations de Charkaoui

Par Adil Charkaoui

Cela fait Cinq ans que je te lutte inlassablement, claimant ONU procès juste et équitable SELON LES Principes de la justice Fondamentale ET niant les allégations des services secrets canadiens. Ou, à défaut d'procès non publics, Ce qu'on me offre DEPUIS le 23 février 2007, la date à Laquelle la Cour suprême du Canada Avait Déclaré À L'UNANIMITÉ les certificats de sécurité inconstitutionnels, ce est un procès sur la Place Publique, Une Campagne de diffamation. Dernier épisode en la Matière: des allégations farfelues, ridicules, Signées pseudonyme Un par Dans un forum de discussion sur le net!

Un dialogue entre un père et son fils de quatre ans, par Adil Charkaoui (traduit du français) * - Papa, papa ... - Oui, un peu. - Que portez-vous autour de votre cou? - Autour de mon cou! Rien. - Non - il! - Ah! Vous voulez dire autour de ma cheville. - Voilà le cou du pied, l'ank ...? - Cheville. - Mais vous avez pas dit ce qu'il est.

 







 

- Eh bien, cela, il est un bracelet. 
- Depuis combien de temps vous en avez usé? 
- Trois ans. 
- Pourquoi ne portez-vous toujours? 
- Parce que je dois, il est un cadeau. 
- Qui vous l'a donné? 
- Il était tonton. 
- Quels tonton? 
- Ok ... il était l'oncle Sam ... 
- Qui est l'oncle Sam? 
- Vraiment, vous posez trop de questions. Il était quelqu'un qui me l'a donné ... oncle Sam, mon oncle Stephen, oncle de sécurité. Il ne compte pas vraiment, vous ne le connaissez pas. 
- Ok, mais pourquoi est votre bracelet noir? 
- Parce que ceux qui me l'a donné ont des visages blancs mais coeurs noirs. 
- Pourquoi est-il pas or comme Maman? 
- Parce que les gens qui me l'a donné ne sont pas les cœurs d'or, petit.

Le 6 Décembre 2007, Adil Charkaoui a fait une présentation devant le Comité permanent de la sécurité publique, qui est chargée d'examiner le projet de loi C-3 présenté par les conservateurs en Octobre. Télécharger la transcription de la présentation de M. Charkaoui.

Mars Canada d'une journée internationale des droits humains (10 Décembre) pour la troisième année consécutive

Montréal, le 10 Décembre, 2005: En 2003, le Canada a marqué la journée internationale des droits de l'homme en arrêtant le réfugié Mohamed Harkat en vertu d'un "certificat de sécurité"; ils l'ont détenu sans inculpation sous la menace d'être envoyé à la torture depuis. Le 10 Décembre 2004, la Cour d'appel fédérale a rejeté la contestation constitutionnelle de Adil Charkaoui aux certificats de sécurité. (L'appel sera entendu par la Cour suprême en Juin 2006.) Et hier, la Cour fédérale n'a pas respecté l'absolu, l'interdiction internationale de la torture.

Hier, la Cour fédérale a rejeté une requête de l'une des victimes de certificats de sécurité, Adil Charkaoui, entendus en Octobre 2005. La Loi sur l'immigration et la protection des réfugiés (LIPR) exclut les personnes qui ont été étiquetées «menaces de sécurité" des dispositions pour garantir qu'aucune ne soit expulsé à la torture.Johanne Doyon, l'un des avocats de Charkaoui, a fait valoir que maintenir une personne sous la menace de la torture viole les droits à la vie, la Charte et la sécurité de la personne, la protection contre les peines cruelles et inhabituelles, ainsi que l'égalité devant la loi.

Deuxième lettre ouverte par Adil Charkaoui, le 20 Décembre 2004

Ceci est ni un roman de Kafka, ni un conte médiocre qui se déroule dans une république bananière, mais tout simplement l'état des droits humains dans le meilleur pays du monde.

Le jugement sur la constitutionnalité des certificats de sécurité, rendu public le 10 Décembre 2004, journée internationale des droits de l'homme, est une illustration révélatrice du 11 Septembre post-Canada.

Dans cette décision, décriée par toutes les organisations des droits humains et par un nombre impressionnant de juristes canadiens (plus de 60 côte à côte), les trois juges de la Cour d'appel fédérale a déclaré que les certificats de sécurité - une mesure de la loi sur l'immigration dans lequel la présomption de ne existe pas l'innocence, tout ou partie de la preuve est retenu, par ouï-dire est acceptée, le contre-interrogatoire des témoins a refusé, le droit d'appel refusée, et fermé les sessions entre les juges et les procureurs sont monnaie prête - sont «une exceptionnelle mais dérogation autorisée. " 1

Adil Charkaoui, père de deux enfants et un étudiant de la littérature française, a passé près de 18 mois dans une prison de Montréal. Il n'a été ni condamné ni même accusé d'aucun crime. L'utilisation d'un «certificat de sécurité», le gouvernement du Canada a le pouvoir d'emprisonner les réfugiés et les résidents permanents, sans frais, en vertu de preuves secrètes.

Privé de sa liberté, de son droit d'être présumé innocent, et d'un procès équitable, Charkaoui, comme les quatre autres hommes musulmans détenus en vertu de certificats, fait face à la déportation vers son pays d'origine, même si il ya un risque sérieux qu'il sera torturé à son retour.

par Adil Charkaoui (traduit par Ehab Lotayef)

Un an derrière les barreaux! 
Manqué au moins 365 baisers de Khawla 
rassemblements innombrables familles. Aliments que je ne touchaient jamais. 
Un an derrière les barreaux! 
Nuits blanches. Sans fin de neige et le stress sans fin. 
Longues journées d'été. Couchers de soleil qui ont perdu leur charme. 
Et ça continue ... 
En entendant les mêmes mots, encore et encore: 
"la sécurité nationale avant les droits individuels." 
"Il n'y a pas de procédure pénale. Il est l'immigration. 
"" Prouver votre innocence et nous allons vous laisser partir. 
"Comment? 
Lorsque des accusations sont secrètes. 
Informers anonyme. 
Et toutes les preuves cachées. 
Droit de recours? Voilà seulement pour les criminels. 
Est présomption d'innocence réservée aux scandales des commandites? 
Est pas la même Codere il impliqué? 
A-Inquisition et Citoyenneté Canada jamais entendu parler de la charte? 
Ce soir, une fois de plus, 
à deux ans, fille va dormir sans son père 
Et un bébé, âgé de neuf mois, sera manquant son père 
Demandez-vous pourquoi!