Le racisme et l'islamophobie Certificats de sécurité et le cas d'Adil Charkaoui

Le racisme et l'islamophobie Certificats de sécurité et le cas d'Adil Charkaoui

Votre client a un profil: Race et de la sécurité nationale au Canada

    par H. Sherene Razack, professeure, OISE, Université de Toronto. Résumé
 

Dans cet article, je examine trois catégories de personnes pour lesquelles des considérations de race et de la sécurité nationale se sont réunis pour aboutir à leur expulsion de la communauté politique. Ces groupes sont exilés aux espaces en droit où les droits fondamentaux sont suspendus. Les trois catégories sont: un certificat de sécurité, "la sécurité retardée" non-citoyens, qui est, ceux qui sont conservés dans un état ​​officiellement indéterminée en raison de la suspicion qu'ils peuvent présenter un danger pour le Canada, et enfin les individus jeter dans un état ​​de suspicion permanente qui sont soit expulsé, considérés comme des terroristes potentiels ou expédiés vers leur pays d'origine où ils sont torturés. 
Les groupes racialisés tels que les Arabes, les musulmans, les Sud-Asiatiques, les Africains et Latinos qui sont des non-citoyens constituent le principal groupe dans ces catégories bien que les Arabes et les musulmans sont majoritaires parmi les détenus des certificats de sécurité. Je soutiens que la race pensée, une structure de pensée qui divise le monde entre le mérite et l'indigne selon descente raciale, nous habitue à l'idée que la suspension des droits de ces groupes est justifiée dans l'intérêt de la sécurité nationale. Comme je le montre ci-dessous, la race pensée devient ancré dans le droit et la bureaucratie de sorte que la suspension des droits ne semble pas comme une violence, mais que la loi elle-même. Le texte complet de ce document est disponible ici.

Ce document est en train d'être traduit en français.

Sous revue: études en Droit, Politique et Société.
Email: 
srazack@oise.utoronto.ca

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