Martine Ouellet est la candidate la mieux positionnée pour poursuivre l’héritage de PKP ET DAME DE COEUR POUR LE QUÉBEC ET NON PAS COMME COUILLARD contre le QUÉBEC !!!

Martine Ouellet est la candidate la mieux positionnée 

pour poursuivre l’héritage de PKP

Martine Ouellet, candidate à la direction du Parti Québécois, s’engage à réaliser plusieurs démarches entamées par l’ex-chef du Parti Québécois, Monsieur Pierre Karl Péladeau. Martine Ouellet est la candidate la mieux positionnée pour réaliser le travail débuté par l’ancien chef du PQ. Elle a le discours le plus décomplexé sur l’indépendance, favorisant le plus la création d’emploi et l’économie du Québec, supportant le plus l’approche « terrain » et le renouveau au sein du parti.

Le parti de l’économie

« Le Parti Québécois de Pierre Karl Péladeau a retrouvé son statut de parti de l’économie. Il a défendu bec et ongles les sièges sociaux des entreprises québécoises vendues à des intérêts étrangers devant l’applaventrisme de Philippe Couillard qui ne comprend rien du tout à l’économie du Québec. Comme Pierre Karl, je défendrai la création d’emplois, les achats locaux, les sièges sociaux et favoriser le développement des PME et des grandes entreprises du Québec ! », a affirmé Martine Ouellet.

Reconnecter le parti sur le terrain

La candidate à la chefferie du Parti Québécois entend aussi perpétuer la réforme du parti par le travail de terrain fait par l’ancien chef du PQ. Elle prend notamment l’engagement de favoriser la conciliation travail terrain / Assemblée nationale amorcée par Monsieur Péladeau et l’organisation d’assemblees citoyennes, donner davantage d’outils à l’École de formation du Parti Québécois, donner plus de pouvoirs aux exécutifs de circonscription et de région. Finalement, la candidate s’engage à perpétuer la formule des « agents terrain » en remplacement des « agents de liaison ».

Rassembler autour du pays

Martine Ouellet souhaite, exactement comme le souhaitait l’ex-chef, que l’indépendance soit assumée jusqu’au bout et qu’elle soit réalisée le plus rapidement possible. Elle s’engage clairement à réaliser l’indépendance dans un premier mandat d’un gouvernement du Parti Québécois, puisque cet engagement est la stratégie la plus efficace pour rassembler l’ensemble des acteurs indépendantistes et apprendre dès maintenant à travailler ensemble en vue de l’élection de 2018. Tout comme Pierre Karl Péladeau, la candidate croit que la convergence peut et doit se faire sur l’indépendance.

L’indépendance d’abord!

« C’est simple, tant Option nationale que Québec Solidaire réclament un engagement clair à réaliser l’indépendance dans un premier mandat. C’est la clé de la convergence indépendantiste et pour moi, ça doit commencer dès maintenant. Un grand changement que Pierre Karl a amené au Parti Québécois, c’est d’affirmer que nous n’avons plus le monopole de l’indépendance et que nous devons respecter l’autonomie des autres partis et de tous les organismes de la société civile », a affirmé Martine Ouellet.

« Vous savez, j’ai débuté au Parti Québécois à l’époque de Monsieur Parizeau. Je pense tout comme lui que ce qui tient les indépendantistes ensemble, qu’ils viennent de tous les horizons, c’est l’indépendance. Les députés, les membres et la population ont des attentes envers la prochaine chef du Parti Québécois et je crois que c’est essentiel de faire connaitre clairement nos intentions », a déclaré Martine Ouellet.

Une nouvelle coalition indépendantiste 

appuie Martine Ouellet

 
 

Fatigués de voir le Parti québécois (PQ) mettre en veilleuse son option indépendantiste, une cinquantaine de militants souverainistes pressent Martine Ouellet de se lancer dans la course à la succession de Pierre Karl Péladeau.

Dans une lettre ouverte dont l’Agence QMI a obtenu copie, ils soutiennent que la députée de Vachon, qui devrait annoncer sa candidature vendredi, est la seule aspirante-chef à pouvoir mettre fin à l’attitude «défaitiste» qui règne au PQ depuis l’échec référendaire de 1995.

«En vue de la course à la direction du Parti québécois [...] une voix s'élève, une seule, déterminée à porter un engagement clair et concret en faveur de la souveraineté: celle de Martine Ouellet», écrivent les militants, qui se sont regroupés au sein d’un nouveau mouvement: la Coalition pour un engagement indépendantiste clair.

 

La Coalition compte plusieurs membres et candidats d’Option nationale (ON) et du Bloc québécois. Son porte-parole, Nic Payne, a notamment été président d’ON et candidat à la succession de Jean-Martin Aussant en 2013.

Lors de la dernière course à la chefferie, Martine Ouellet s’était engagée à tenir un référendum dans un premier mandat si elle était élue à la tête d’un gouvernement du Parti québécois. Tout indique que la députée indépendantiste réitérera cet engagement si elle décide de briguer une seconde fois le trône péquiste.

«Nous sommes convaincus qu'un fort appui en faveur de Mme Ouellet ne pourrait qu'être positif pour la suite des choses, pour le mouvement indépendantiste comme pour le Québec tout entier, quoiqu'il advienne à terme du simple véhicule qu'est le PQ», soutiennent les membres de la Coalition.

L’appui à Martine Ouellet sert de catalyseur au nouveau mouvement indépendantiste, qui pourrait tenir sous peu une assemblée fondatrice, selon ce qu’a appris l’Agence QMI.

Convaincus que le refus du PQ de s'engager clairement en faveur de la souveraineté a contribué à l’essoufflement de l’option indépendantiste, les militants de la Coalition craignent que l’élection de Jean-François Lisée, d’Alexandre Cloutier ou de Véronique Hivon mène à un nouveau report du projet de pays.

«Nous en avons assez. Nous ne voulons plus de cette démission continuelle. Nous ne pouvons plus endurer cette lancinante et interminable dérive dans les marécages du défaitisme», écrivent-ils.ENCADRÉMembres de la Coalition pour un engagement indépendantiste clair

Nic Payne, militant indépendantiste

Audrey Perreault, militante indépendantiste

Frédéric De Roy, candidat, Option nationale

Sarah Krug, membre, Option nationale

Luc Bertrand, Option nationale Montréal

Annie Carrier, militante Option nationale

Ghislain Taschereau, indépendantiste

Marthe Lapierre, militante Option nationale

Jean-François Belley, Bloc québécois, Laurier-Ste-Marie

Évelyne Beaudin, militante indépendantiste

Jean-François Tremblay, militant indépendantiste

Amélie Perron, indépendantiste

Benjamin Michaud, candidat, Option nationale

Lili Brunet-St-Pierre, citoyenne

Patrick R. Bourgeois, indépendantiste

Anne-Marie Thouin, indépendantiste

Daniel Clapin-Pépin, indépendantiste

Hugo Bourdelais, citoyen

Manon Senneville, membre PQ et Option nationale

Jean-Pierre Gouin, indépendantiste

Bernard Paré, indépendantiste

Sabrina Gagnon-Rochon, indépendantiste

Vincent Goulet, indépendantiste

Nicolas Geoffroy, indépendantiste

Liliane Charlebois, militante indépendantiste

Daniel Bergeron, militant indépendantiste

Pascal St-Pierre, citoyen

Vanessa Roy, candidate, Option nationale

Yves Perreault, indépendantiste

Jean-François Joubert, indépendantiste

Marie-Claude Brouillet, indépendantiste

Raymond Harvey, candidat, Bloc québécois

Mathieu Thomas, indépendantiste

Philippe Cloutier, candidat, Bloc québécois

Manon Bévillard, indépendantiste

Pierre-Luc Bégin, Éditeur, Éditions du Québécois

Philippe Boily, candidat, Bloc québécois

Louis-Philippe Dubois, ex-directeur général, Option nationale

Marc-Antoine Daneau, candidat, Option nationale

Gabrielle Ladouceur-Despins, indépendantiste

Mathias Doré-Ouellet, indépendantiste

Jean-Philippe Jodoin, militant indépendantiste

Jean-François Carrier, journal Le Québécois

Martin Paquette, indépendantiste

Christian Strasbourg, indépendantiste

Sophie Beaupré, militante indépendantiste, Bloc québécois

Nino Gabrielli, indépendantiste

Normand Perry, ex-président, PQ Soulanges

Mathieu Lebel, militant indépendantiste

Julien Longchamp, candidat, Option nationale

Jonathan Beauchamp, candidat, Bloc québécois

Rémi Portugais, indépendantiste

Marlène Goulet, membre, Option nationale

Alexandre Desmarais, membre, Option nationale

Martin Lefebvre, indépendantiste

Pas d’urgence pour Martine Ouellet à se lancer dans la course

 

La candidate pressentie à la direction du Parti québécois (PQ) Martine Ouellet n’annoncera pas avant le 27 mai prochain si elle se lance ou non dans la course à la succession de Pierre Karl Péladeau.

Si les intentions de la députée de Vachon laissent peu de place au doute, elle a affirmé mardi ne pas ressentir la nécessité de dévoiler rapidement son choix.

«On ne sent pas ce sentiment d’urgence là du tout, qu’on a vu peut-être un peu dans les derniers jours, a-t-elle dit. Vous savez, le vote [du prochain chef] est prévu à la mi-octobre, donc il reste du temps.»

L’annonce de Mme Ouellet, le 27 mai, coïncidera avec la rencontre du Conseil national des présidentes et présidentes du PQ, au cours de laquelle seront décidées les modalités de la course à la chefferie.

À défaut d’avoir des appuis au sein du caucus péquiste, Martine Ouellet a tenu à remercier les personnalités du milieu souverainiste qui ont sollicité sa candidature, dont l’ancien bras droit de René Lévesque, Louis Bernard, le député bloquiste Xavier Barsalou-Duval, l’ex-ministre péquiste Gilbert Paquette et le comédien Denis Trudel.

«Ça me fait vraiment chaud au cœur de voir que des gens de leur envergure, de leur détermination, aient la conviction profonde que ça prend une approche volontaire, une approche proactive pour réaliser l’indépendance au Québec et qu'on est capable et qu'on a tous les moyens pour y arriver», a confié Mme Ouellet.

Trois candidats ont jusqu’ici annoncé qu’ils se lançaient dans la course à la direction du Parti québécois. Il s’agit de Véronique Hivon, Alexandre Cloutier et Jean-François Lisée.

Les candidats pressentis Nicolas Marceau, Bernard Drainville et Jean-Martin Aussant ont déjà annoncé qu’ils ne tenteraient pas de succéder à Pierre Karl Péladeau à la tête de la formation souverainiste.