Attentats : le troisième kamikaze du Stade de France est aussi passé par la Grèce

Attentats : le troisième kamikaze du Stade de France est aussi passé par la Grèce

EN DIRECT - Trois terroristes s'étaient fait exploser aux abord du Stade de France vendredi 13 novembre. Parmi eux, Bilal Hadfi, âgé de 20 ans, un Français résidant en Belgique. Un deuxième individu avait été contrôlé en Grèce, en octobre. C'est aussi le cas du troisième homme a annoncé le procureur de Paris ce vendredi.

EN COURS : Mis à jour à 23:57

à 23:48
L'Onu appelle tous les pays à se joindre à la lutte contre Deach
 
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté à l'unanimité ce soir une résolution française qui permet de "prendre toutes les mesures nécessaires" pour combattre le groupe terroriste Etat islamique, une semaine après les attentats de Paris. La résolution "demande aux États qui en sont capables de prendre toutes les mesures nécessaires, en conformité avec les lois internationales, et en particulier avec la charte de l'ONU (..) sur le territoire contrôlé par l'EI en Syrie et en Irak". "L'Etat islamique en Irak et au Levant constitue une menace globale et sans précédent pour la paix internationale et la sécurité", dit le texte de la résolution.
à 23:45
Salah Abdeslam était dans le 18e le soir des attentats
 
D'après l'Obs, Salah Abdeslam, 26 ans, toujours en fuite et soupçonné d'être impliqué dans les attentats de Paris avant de s'enfuir en Belgique le lendemain du carnage, aurait été le conducteur de la Clio retrouvée dans le 18e arrondissement de Paris. Ce serait lui qui aurait conduit les trois kamikazes du Stade de France, et serait ensuite revenu se garer vers la Porte de Clignancourt (18e).
à 23:33
Le point à 23h30
 

o Le bilan des attentats de Paris et Saint-Denis passe de 129 à 130 morts

Les «terroristes» ont «tué sans pitié, anéantissant 130 vies», a déclaré Manuel Valls. L'entourage du premier ministre a ensuite confirmé qu'il s'agissait d'une révision à la hausse du précédent bilan de 129 morts, à la suite du décès, jeudi, d'un blessé hospitalisé.

o La loi prolongeant l'état d'urgence en "applicable dès demain"

Le premier ministre a annoncé que la prolongation pour trois mois de l'état d'urgence serait applicable dès demain samedi. Cette annonce intervient quelques heures après le vote définitif du Parlement à l'issue d'un vote conforme de la loi jeudi par l'Assemblée et vendredi par le Sénat. Cette loi entrera en application, aussi bien en métropole qu'en outre-mer, prolongeant l'état d'urgence jusqu'à fin février.

o Abdelhamid Abaaoud identifié sur des images de vidéo-surveillance du métro parisien

Le commanditaire présumé des attaques de Paris a été identifié sur des images de vidéo-surveillance du métro parisien, à la station Croix de Chavaux, à Montreuil, le vendredi 13 novembre à 22h14. La station où il a été filmé se situe à 250 mètres du lieu où a été retrouvée la Seat noire qui a servi pour les tueries des cafés parisiens. Il pourrait donc avoir fait partie du commando.

o L'un des terroristes présumés toujours en fuite

Salah Abdeslam, 26 ans, soupçonné d'avoir été le logisticien des attentats de Paris avant de s'enfuir en Belgique le lendemain du carnage est toujours en fuite.

o La femme morte lors de l'assaut identifiée

Le parquet a annoncé que le troisième corps retrouvé sur les lieux de l'assaut de Saint-Denis était bien celui d'Hasna Ait Boulahcen, 26 ans, tuée au moment de l'intervention du Raid et de la BRI. Elle a été formellement identifiée après comparaison d'empreintes digitales. Un troisième corps reste à identifier.

o Une cérémonie nationale d'hommage vendredi prochain

La France rendra hommage aux victimes des attentats de Paris, dans la cour de l'Hôtel national des Invalides à Paris, a confirmé l'Elysée. Avant, le président de la République doit effectuer plusieurs déplacements internationaux. Il doit rencontrer notamment Vladimir Poutine et Barack Obama.

à 22:34
La loi prolongeant l'état d'urgence "applicable dès demain"
 
La prolongation pour trois mois de l'état d'urgence est applicable dès demain, a annoncé le premier ministre Manuel Valls ce soir dans un tweet. Cette annonce intervient quelques heures après le vote définitif du Parlement à l'issue d'un vote conforme de la loi jeudi par l'Assemblée et vendredi par le Sénat. Cette loi entrera en application, aussi bien en métropole qu'en outre-mer, prolongeant l'état d'urgence jusqu'à fin février.

» État d'urgence, ce que prévoit le projet de loi
à 22:23
Un suspect inculpé pour terrorisme en Belgique
 
Un suspect, arrêté en Belgique, a été inculpé pour terrorisme en lien avec les attentats commis à Paris le 13 novembre, a indiqué le Parquet fédéral belge dans un communiqué. Cette personne, "emmenée hier pour audition dans le cadre du dossier concernant les attentats commis à Paris vendredi dernier, a été mise sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction", a indiqué le Parquet. "Il est inculpé de participation à des attentats terroristes et participation aux activités d'un groupe terroriste", a ajouté la même source.
à 22:21
Hommage aux victimes des attentats au Sénat
 
Les sénateurs ont observé ce soir un moment de recueillement, une semaine après les premières fusillades qui ont ensanglanté Paris et Saint-Denis. Les sénateurs avaient déjà observé une minute de silence lundi, avant d'entonner la Marseillaise.
à 21:41

Place de la République à Paris, une minute de non-silence pour les victimes

 
Une semaine jour pour jour et heure pour heure après les attentats de Paris, des dizaines de personnes ont rendu hommage aux victimes des attentats par une minute de non-silence.
  

 

4 victimes civiles probables dans une frappe en Irak

 
L'armée américaine a reconnu vendredi qu'un bombardement américain en Irak le 13 mars visant un check-point du groupe Etat islamique avait "probablement provoqué la mort" de quatre civils dont un enfant.
Une enquête de l'armée américaine a montré que le bombardement avait "probablement provoqué la mort de quatre non-combattants", dont un "pourrait avoir été un enfant", selon un communiqué du Centcom, le commandement des forces américaines au Moyen-Orient. 
 
C'est la deuxième fois que l'armée américaine reconnaît sa responsabilité probable dans la mort de civils dans un bombardement.
En mai, elle avait déjà reconnu qu'une frappe en novembre 2014 près de Harem en Syrie contre le groupe extrémiste Khorasan avait tué deux enfants. 
 
"Nous regrettons cette perte non-intentionnelle de vie humaine et nous gardons les familles affectées dans nos pensées", a déclaré vendredi le général CQ Brown, commandant des forces aériennes américaines au Moyen-Orient, cité dans le communiqué du Centcom.
 
Un porte-parole du Centcom, le colonel Patrick Ryder, a précisé à la presse que le bombardement, dans un check-point à Hatra, avait été mené par un avion américain d'attaque au sol A-10.

Selon le communiqué du Centcom, l'enquête a montré que les frappes "ont été conduites en accord" avec les règles en vigueur dans l'armée américaine.

à 13:23

Multiplication d'attaques racistes en Écosse

 
Le nombre des attaques racistes ou ciblant une appartenance religieuse a explosé en Écosse depuis les attentats de Paris, avec 64 incidents enregistrés en une semaine, a regretté vendredi la police écossaise dans un communiqué.
D'après le directeur adjoint de la police écossaise, Iain Livingstone, 40 d'entre elles ont déjà donné lieu à des poursuites et la police écossaise "déploie autant d'efforts supplémentaires pour répondre à la menace terroriste internationale que face aux délits racistes". A titre de comparaison, sur douze mois de mars 2014 à mars 2015, le nombre d'attaques islamophobes s'est élevé à 71.
à 13:21

Un concert annulé demain soir à la Cigale

 
Le concert du clarinettiste juif new-yorkais David Krakauer programmé demain soir à La Cigale, à Paris, a été annulé, a annoncé la direction du festival Jazz'n'Klezmer, organisatrice de l'événement."Compte tenu des actes terroristes qui viennent de se dérouler dans notre pays, le concert de David Krakauer qui était prévu à La Cigale (...) est annulé", indique la direction du festival. David Krakauer avait pourtant annoncé hier soir à l'AFP son intention de maintenir ce concert, pour lequel quelque 400 personnes avaient déjà réservé leur place, selon des chiffres de l'organisation du festival.
à 13:17

Feu vert du Parlement à la prolongation de l'état d'urgence

 
Le Parlement donne son feu vert, par un vote quasi unanime du Sénat, à la prolongation pour trois mois de l'état d'urgence instauré après les attentats de la semaine dernière et au renforcement de ce régime d'exception.
Le Sénat, à majorité de droite, a adopté le projet de loi annoncé lundi par François Hollande devant le Parlement réuni en Congrès, par 336 voix pour et 12 abstentions (onze communistes et une écologiste). La veille, l'Assemblée avait aussi voté massivement pour le texte, par 551 voix, contre seulement 6 (3 PS, 3 écologistes) et une abstention (PS).

Le point en fin de journée

 

La femme morte lors de l'assaut est Hasna Ait Boulahcen, toutefois elle n'est pas morte en kamikaze. " Le corps de cette femme de 26 ans a été formellement identifié, après comparaison d'empreintes digitales, comme étant celui d'Hasna Ait Boulahcen», indique François Molins. Mais c'est un homme qui s'est fait exploser en kamikaze. 

Un corps reste à identifier puisque trois personnes sont mortes dans l'assaut de Saint-Denis: l'organisateur présumé des attentats Abdelhamid Abaaoud, sa cousine Hasna Aitboulahcen, et un homme encore non identifié.

Le bilan des attentats de Paris et Saint-Denis passe de 129 à 130 morts.

Abdelhamid Abaaoud a été identifié sur des images de vidéo-surveillance du métro parisien, à Montreuil, vendredi 13 novembre, aux alentours de 22 heures. 

Une cérémonie nationale d'hommage se tiendra vendredi prochain. La France rendra hommage aux victimes des attentats de Paris, dans la cour de l'Hôtel national des Invalides à Paris, a confirmé l'Elysée. Avant, le président de la République doit effectuer plusieurs déplacements internationaux (il doit rencontrer Poutine et Obama).

Bernard Cazeneuve réclame à l'Union européenne un fichier de données sur les voyageurs aériens (PNR) ainsi que des contrôles aux frontières extérieures et intérieures.

L'un des terroristes présumés des attentats, Salah Abdeslam, reste toujours en fuite. L'homme de 26 ans est soupçonné d'avoir été le logisticien des attentats de Paris avant de s'enfuir en Belgique le lendemain du carnage.

Sept des neuf suspects interpellés à Bruxelles relâchés

 
Sept des neuf individus interpellés jeudi à Bruxelles dans le cadre d'une série de perquisitions liées aux attentats de Paris ont été remis en liberté après interrogatoire, a annoncé vendredi le parquet fédéral.
La garde à vue des deux autres a été prolongée de 24 heures.
 
L'un a été arrêté dans le cadre de l'enquête ouverte au début de l'année par la justice belge après le départ en Syrie de Bilal Hadfi, un des trois kamikazes qui se sont fait exploser vendredi soir aux abords du Stade de France, à Saint-Denis.
 
Le second est plus largement soupçonné de complicité avec les auteurs des attentats.

Par ailleurs, la garde à vue de Mohamed Amri et d'Hamza Attou, qui ont fait l'objet samedi matin d'un contrôle routier à Cambrai et qui ont ensuite été arrêtés en Belgique, a par ailleurs été prolongée d'un mois, ajoute le parquet fédéral dans un autre communiqué. A bord de la voiture, se trouvait également Salah Abdeslam, frère d'un autre kamikaze de Paris, qui est toujours recherché.

"La prochaine étape, ce sont des mosquées...", avertit Oubrou

 
L'imam de Bordeaux et théologien Tareq Oubrou a appelé les musulmans à "changer de logiciel" et se défaire d'une "culture d'assiégés", les mettant en garde contre le terrorisme sans limites au nom du djihadisme et considérant que "la prochaine étape, ce sont des mosquées".
 
La "barbarie inqualifiable" à l'oeuvre dans les attentats de Paris "nous interpelle tous, car on n'est pas à l'abri de cette violence. Demain, ou après-demain, il y aura un truc ici, à la mosquée. Parce que je pense que la prochaine étape ce sont des mosquées", a déclaré Tareq Oubrou dans son sermon du vendredi à la mosquée de Bordeaux.
 
Dans certains pays au Moyen-Orient "on fait exploser des mosquées" au nom de l'islam, a-t-il relevé. "Incroyants, non-musulmans, chiites, sunnites, pratiquants ou non... Ils (les terroristes) n'ont rien épargné. Même pas les mosquées ! Ils n'ont rien à voir avec l'islam", a ajouté l'imam.
 
"Le terrorisme n'a pas de pensée, pas de doctrine, pas de projet", a-t-il ajouté, rappelant aux quelque 600 fidèles réunis que "le terrorisme a tué plus de musulmans que de non-musulmans".
Dans un sermon vigoureux d'environ une demi-heure, en arabe puis en français, l'influent imam de Bordeaux, considéré comme le théoricien d'un "islam occidental", a appelé les musulmans de France à "changer leur logiciel" et se défaire d'une "culture d'assiégés" dans laquelle beaucoup ont grandi ou ont été élevés.

"J'ai l'impression que le monde musulman souffre de l'intérieur. Les musulmans n'ont pas le logiciel qui leur permet de vivre normalement avec les autres". La responsabilité, selon Tareq Oubrou, incombe en partie aux "savants de l'islam". C'est à eux qu'il revient de "reformuler un logiciel qui permette aux musulmans d'être en harmonie avec Dieu tout en étant en harmonie avec les autres".

à 09:14

Le bilan des attentats de Paris s'alourdit à 130 morts

 
Le bilan des attentats de Paris s'alourdit à 130 morts, indique le premier ministre.
Près de 200 perquisitions dans la nuit, 17 gardes à vue
 
Cent quatre-vingt-deux nouvelles perquisitions ont été menées dans la nuit de jeudi à vendredi et 20 interpellations ont conduit au placement de 17 personnes en garde à vue, annonce le ministère français de l'Intérieur.
 
Au total, les forces de sécurité ont réalisé 793 perquisitions, 107 interpellations et placé 90 personnes en garde à vue depuis l'entrée en vigueur de l'état d'urgence à la suite des attaques du 13 novembre à Paris et Saint-Denis.
 
Les opérations de la nuit de jeudi à vendredi ont également permis de découvrir 76 armes et dix cachettes de produits stupéfiants, a précisé le ministère dans un communiqué.
 
La préfecture du Finistère a fait savoir qu'une perquisition s'était déroulée dans la nuit à la mosquée Sunna de Brest, dont l'imam fait l'objet de controverses pour ses prêches sur les femmes ou la musique.
à 08:08
Ces paroles spontanées de musulmans contre le djihadisme
 
"Je m'adresse à tous les musulmans de France, protégeons notre belle religion", ou encore "c'est quoi ça Daech, qu'est-ce qu'ils racontent ?": à distance d'institutions de l'islam parfois contestées, des musulmans anonymes ont pris spontanément la parole pour dire non au terrorisme, dans des vidéos qui font le buzz. Avec le développement des réseaux sociaux, ces prises de parole anonymes et spontanées ont fleuri cette semaine, notamment chez des jeunes, dans l'émotion qui a saisi le pays.
 
Ainsi la vidéo au langage très direct postée par Bassem Braiki, un habitant de Vénissieux (Rhône), près de Lyon, a été vue plus de 5,7 millions de fois sur Facebook.
"Je m'adresse à tous les muslims, à tous les musulmans de France: protégeons notre belle religion, allons traquer ces imposteurs qui se font passer pour des musulmans en tuant des gens", souligne ce trentenaire connu sous le nom de blogueur Chronic 2 Bass, qui s'est filmé dans une voiture. "Musulmans qui prônons les valeurs de la République, c'est à nous de faire le ménage, de traquer ces fils de p..., de dire à la moindre chose louche +t'en réfères aux autorités, c'est pas comme ça que tu seras une balance+", poursuit le jeune homme dans son coup de colère.

Dans une autre vidéo, un jeune Parisien surnommé "Anasse", au fin collier de barbe, interroge face caméra: "C'est quoi ça Daech (le groupe Etat islamique qui a revendiqué les attentats de Paris, NDLR) ? Qu'est-ce qu'ils racontent, eux ? (...) C'est que des +cailleras+ de cité qu'avaient rien à faire ! Ils ont cru qu'ils étaient dans des jeux vidéo !" Avant de conclure d'un ton rageur : "Si t'es pas content, la France, ceci, cela, mec, barre-toi au bled".
 
Dans un tout autre registre, des membres de l'association Etudiants musulmans de France(EMF, liée à l'Union des organisations islamiques de France) avaient posté dès le surlendemain des attentats un petit clip remarqué. Des images de la tragédie de vendredi, un peu de musique, une voix off disant calmement "la France est plongée dans le chaos et l'effroi, et moi je reste sans voix"... Et surtout une succession de jeunes gens et filles portant le hijab (voile simple) ou non et brandissant en silence une pancarte frappée du hashtag #NousSommesUnis.

De fait, comme après chaque attentat djihadiste, et même plus que jamais, le Conseil français du culte musulman (CFCM), les grandes fédérations de mosquées, les principaux imams ont rapidement et fermement condamné les attaques "barbares" de vendredi. Mais ces institutions d'un islam très largement sunnite - sans clergé - sont souvent jugées peu représentatives des 5 à 6 millions de musulmans de France, qu'ils soient pratiquants ou non.
à 07:52
Abaaoud, "un suiveur plutôt qu'un leader", selon son ex-avocat
 
Abdelhamid Abaaoud était "un suiveur plutôt qu'un leader", selon son ancien avocat belge, interrogé vendredi par la RTBF. "C'était plutôt quelqu'un de réservé, en quête de reconnaissance de la part de son entourage ou ses amis", a expliqué maitre Alexandre Chateau, qui a défendu Abdelhamid Abaaoud à partir de 2006 dans des affaires de vols et violences.
 
Il explique n'avoir "absolument pas" constaté de radicalisation chez son client, dont il n'a plus eu de nouvelles depuis 2013 et une comparution à laquelle ce dernier ne s'était pas rendu. 
 
"Il semblait se rapprocher de la religion par des signes extérieurs, se laissant pousser la barbe, m'indiquant étudier un peu la religion", mais il n'y avait "pas de discours haineux ni de revendications particulières", témoigne l'ancien avocat.
"J'avais l'impression d'avoir affaire à quelqu'un qui, par ce biais-là, se sortait de sa logique de délinquance", observe-t-il.
à 07:46
Marine Le Pen sera présente à la cérémonie nationale d'hommage de vendredi prochain
 
La présidente du FN Marine Le Pen a annoncé vendredi dans son agenda sa présence vendredi 27 novembre à la cérémonie d'hommage national aux Invalides, selon l'AFP. 
 
Marine Le Pen était absente de la grande marche parisienne du 11 janvier en hommage aux victimes des attaques de Charlie Hebdo et de l'Hyper Cacher, le FN s'estimant alors "interdit de séjour" par les autres partis pour ce défilé dans la capitale. La présidente du FN avait participé à un rassemblement à Beaucaire (Gard), mairie frontiste.