Des milliards de perdus en corruption Couilard naturellement ce fou bien de nous pires il veut nous enterrer vivant PAYER ma gangs de cave que je meuble ma maison ???

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Des milliards de perdus en corruption... Et pour corriger l'erreur, on demande aux chums de rembourser ? Non ! On coupe des milliards en éducation et en santé

Philippe Couillard, membre du gouvernement Charest pendant 5 ans, ami de Arthur Porter, qui dirige une équipe composée des mêmes personnes (Hamad, Fournier, etc.) et il essaie de prendre ses distances. Mmmm...

Publié le 17 avril 2014 à 12h14 | Mis à jour le 17 avril 2014 à 12h14

 

Révélations de l'UPAC: les péquistes accentuent la pression sur Couillard

L'opposition péquiste fait pression sur les libéraux de Philippe Couillard pour qu'ils fassent toute la lumière sur de présumées infractions à la loi sur le financement des partis politiques commises par d'anciens collègues.

 

 

 

 

Le premier ministre élu doit prendre les devants et divulguer toutes les informations qu'il possède relativement aux allégations de malversations dans le financement du Parti libéral du Québec (PLQ) révélées mercredi dans le cadre d'une enquête de l'Unité permanente anticorruption (UPAC), ont réclamé en choeur les députés péquistes jeudi.

M. Couillard n'est plus chef de l'opposition et ne peut donc plus se défiler, a plaidé notamment le député de Rosemont Jean-François Lisée, avant de participer à une réunion du caucus péquiste.

Il doit dire à la population toute la vérité sur ce qu'il sait et dès maintenant, selon lui.

 

Le chef parlementaire de l'opposition péquiste, Stéphane Bédard, a lui aussi fait valoir que M. Couillard devait faire preuve de transparence, tel que promis en campagne électorale.

La députée de Taschereau, Agnès Maltais, est revenue à la charge pour réclamer du premier ministre élu qu'il rende des comptes à la population sans attendre, par exemple sur la double comptabilité des contributions au PLQ mise au jour par l'UPAC. Elle exige de savoir combien d'argent reçu illégalement a été caché de cette manière.

Les documents rendus publics mercredi font état de déclarations assermentées ayant servi aux policiers pour obtenir un mandat de perquisition au siège du PLQ, l'été dernier.

L'ex-ministre libérale Nathalie Normandeau a été éclaboussée par les allégations contenues dans ces documents, soupçonnée d'avoir été au coeur d'une vaste conspiration criminelle ayant permis à certaines entreprises d'obtenir des contrats en échange de généreuses contributions illégales au PLQ. Elle a répliqué en disant qu'elle n'avait rien à se reprocher.

 
 

Le PLQ aurait eu recours à une double comptabilité en créant une fausse «127e circonscription virtuelle» qui servait à recueillir discrètement des dons illégaux des entreprises.

ALEXANDRE ROBILLARD
La Presse Canadienne
 

Le Parti québécois exige des explications du premier ministre élu Philippe Couillard à propos d'allégations de malversations dans le financement du Parti libéral du Québec (PLQ).

 

 

 

 

 

La députée Agnès Maltais a fait ces commentaires mercredi à propos de documents de l'Unité permanente anticorruption (UPAC) qui viennent d'être rendus publics.

Jusqu'ici frappées d'un interdit de publication, ces déclarations assermentées avaient servi aux policiers pour obtenir un mandat de perquisition du siège du PLQ, l'été dernier.

Lors d'un point de presse, Mme Maltais a déclaré que le cabinet de l'ancienne ministre libérale Nathalie Normandeau aurait été au coeur d'une vaste conspiration criminelle qui aurait permis à des entreprises d'acheter les faveurs du gouvernement libéral de Jean Charest grâce à des contributions politiques.

 

Selon ce qui a été rapporté dans les médias qui ont pu obtenir ces documents, l'ex-ministre des Affaires municipales est intervenue dans l'octroi d'une subvention de 11 millions $, en février 2007, malgré l'avis contraire de fonctionnaires.

Cette somme, remise à la municipalité de Boisbriand, a permis au cabinet de génie-conseil Roche et à l'entreprise de construction Infrabec de réaliser un projet d'usine de filtration d'eau.

Selon les documents, la décision de Mme Normandeau est le résultat d'un financement politique soutenu depuis 2005 et d'un exercice d'influence par différents intervenants auprès d'elle-même et du PLQ.

Citant les documents, Mme Maltais a affirmé que les objectifs de financement du PLQ auraient forcé le recours aux dons d'entreprises. Le PLQ aurait aussi eu recours à une double comptabilité et une «127e circonscription virtuelle» aurait été créée pour recueillir ces contributions d'entreprises.

 

La députée péquiste, réélue dans Taschereau le 7 avril, affirme que M. Couillard doit dire si l'UPAC lui a transmis ces informations lorsque des enquêteurs l'ont rencontré, et préciser depuis quand existe cette double comptabilité et combien d'argent a été ainsi dissimulé.

«Nous aimerions de la part du premier ministre une réponse à ces quelques questions», a dit Mme Maltais.

Dans un communiqué, Mme Normandeau a déclaré que cette subvention a fait l'objet d'échanges rigoureux avec les fonctionnaires du ministère à l'époque.

Rien na changer depuis le dépatt de Charest a part empirer et nous foutre encore plus dans mardes

Malgré un versement de 2 milliards $ au Fonds des générations, la dette brute du Québec bondira de 5,3 milliards $ l’an prochain, en raison notamment de l’investissement de l’État dans Bombardier.

La dette du Québec, qui atteint maintenant 207,7 milliards $, passera à 213 milliards $ au 31 mars 2017, prévoit le ministère des Finances.

Juste pour payer les intérêts de sa dette, le gouvernement consentira au cours des 12 prochains mois un montant de 10,4 milliards $.

Pour l’exercice 2016-2017, la progression de la dette proviendra principalement d’investissements dans des travaux d’infrastructures et d’immobilisations comme les routes, les écoles et les hôpitaux.

Pathétique !

28% du monde qui on voté PLQ continue de dire que le système politique nous représente et que c'est de notre faute... 
C'est comme ça qu'on recule !

Il agit comme une rat ! 
Quand il était avec la CAQ, il disait que le parti libéral était tous des rats et il est ou maintenant ? Avec les libéraux ! 
Quand un rat quitte le navire, il reste un rat quand même ....

me Normandeau conseillait les candidats qui avaient à donner des entrevues aux médias. Ses anciens collègues Jacques Dupuis et Michelle Courchesne faisaient de même. En fin de journée hier, Gabrielle Collu, responsable des communications au PLQ, n'a pu nier ces informations, mais a refusé de les commenter. «Il y a beaucoup de monde qui ont participé à la campagne», s'est-elle contentée de répondre.

La porte-parole du PLQ était davantage prête à répondre aux questions portant sur les révélations liées à l'enquête de l'UPAC sur le financement occulte au PLQ et sur le rôle que Mme Normandeau et son cabinet y auraient joué. «Le Parti libéral a 55 000 membres, existe depuis 147 ans. Nous voulons que la lumière soit faite sans compromis. S'il y a eu des personnes qui ont posé des gestes répréhensibles, qu'ils en subissent les conséquences», a-t-elle dit, promettant la collaboration du parti au travail des policiers.


(QUÉBEC) Au centre d'une enquête de l'UPAC sur le financement occulte au Parti libéral du Québec, Nathalie Normandeau avait maintenu, jusqu'à tout récemment, des liens étroits avec son parti. L'ex-ministre était affectée à la formation des candidats à la permanence du PLQ durant la dernière campagne électorale.

>Le cabinet de Normandeau visé par l'UPAC

Mme Normandeau conseillait les candidats qui avaient à donner des entrevues aux médias. Ses anciens collègues Jacques Dupuis et Michelle Courchesne faisaient de même. En fin de journée hier, Gabrielle Collu, responsable des communications au PLQ, n'a pu nier ces informations, mais a refusé de les commenter. «Il y a beaucoup de monde qui ont participé à la campagne», s'est-elle contentée de répondre.

La porte-parole du PLQ était davantage prête à répondre aux questions portant sur les révélations liées à l'enquête de l'UPAC sur le financement occulte au PLQ et sur le rôle que Mme Normandeau et son cabinet y auraient joué. «Le Parti libéral a 55 000 membres, existe depuis 147 ans. Nous voulons que la lumière soit faite sans compromis. S'il y a eu des personnes qui ont posé des gestes répréhensibles, qu'ils en subissent les conséquences», a-t-elle dit, promettant la collaboration du parti au travail des policiers.

 

Dans un point de presse, la députée péquiste de Taschereau, Agnès Maltais, a rappelé que son parti avait réclamé que ce dossier soit divulgué avant les élections. Le tribunal en avait décidé autrement, constate-t-elle, refusant de «faire des hypothèses» sur ces décisions.

Circonscription virtuelle

Devant les informations devenues publiques, Mme Maltais souligne que le nouveau premier ministre Philippe Couillard a beaucoup de réponses à donner. Il doit d'abord préciser si, lors de sa rencontre avec les policiers de l'UPAC en juillet 2013, des questions ont été soulevées à propos des gestes du cabinet de Mme Normandeau. «M. Couillard a promis de travailler en toute transparence», a souligné la péquiste. Selon elle, le PLQ doit préciser combien d'argent a transité par des voies illicites - la permanence aurait, selon le document de l'UPAC, créé un «127e comté», virtuel, pour y aiguiller du financement.

Des sources libérales indiquent qu'il s'agit probablement d'une enveloppe pour le financement auprès des employés de firmes d'ingénieurs ou de professionnels, le financement «sectoriel» qui existe aussi au Parti québécois. Quant à la différence entre les sommes collectées et les sommes versées au parti, il s'agirait des coûts des événements, risque-t-on.

Du côté de Québec solidaire, Amir Khadir, député de Mercier, indique que son parti a soulevé ces problèmes depuis quatre ans et que les enquêtes semblent marquer le pas. «Il devient de plus en plus évident que ces élections, incluant celle du 7 avril dernier, se sont déroulées avec un butin de guerre illégal», soutient-il. «Les libéraux ont toujours nié les retours d'ascenseur, mais avec les révélations entourant des poids lourds comme l'ex-vice-première ministre et l'ex-argentier Marc Bibeau, on peut en douter», poursuit le député de Mercier.