Élan de solidarité dans les rues de Québec

Publié le 14 novembre 2015 à 15h34 | Mis à jour le 14 novembre 2015 à 20h57

 

Élan de solidarité dans les rues de Québec

L'étroite rue Saint-Louis, aux allures de celles que... (Le Soleil, Caroline Grégoire)

Agrandir

L'étroite rue Saint-Louis, aux allures de celles que l'on retrouve dans la capitale française, était pleine de gens, Québécois comme Français, venus se recueillir en mémoire des victimes.

LE SOLEIL, CAROLINE GRÉGOIRE

 

Prévue à 15h, la vigile a pris forme sous un vent glacial, dans le silence, le calme, et non sans une certaine anxiété à la vue des mesures de sécurité déployées pour encadrer le rassemblement.

Dans l'étroite rue Saint-Louis, rappelant la capitale française, des centaines de personnes se sont recueillies, drapeau français et maquillages aux couleurs de la République bien en vue. Parmi eux, des Français inquiets et encore sous le choc, se sentant quelquefois trop loin de la maison.

Alice Bébin a reçu des messages textes coup-de-poing, vendredi soir, lui apprenant que des attaques sanglantes se déroulaient à Paris. Scotchée à son téléphone cellulaire, elle n'a eu des nouvelles de ses proches que «tardivement», pour finalement apprendre qu'une amie se trouvait dans un état critique.

 

«J'ai appris qu'une de mes amies était au Bataclan et qu'elle était gravement touchée [...] On ne sait pas encore si elle va s'en sortir», a raconté l'étudiante encore troublée.

La jeune femme aimerait en faire plus, être auprès de ses parents et amis, mais elle est clouée au Québec pour le moment. Retourner en France, «je n'en ai pas les moyens [présentement]», a-t-elle dit, ajoutant qu'elle doit terminer sa session d'études en sol québécois. «Quand on est loin, c'est pire que tout», a-t-elle confié.

Des ressortissants français rencontrés par Le Soleil, en plus de vivre leur deuil, s'interrogent maintenant sur l'après 13 novembre en France. «Est-ce qu'on va pouvoir aller au cinéma le week-end, est-ce qu'on va pouvoir sortir boire un verre? Est-ce qu'on va devoir se restreindre et de pas sortir?» a demandé l'un d'eux.

Plusieurs Français, dont Aline Georges, une autre étudiante, ont tenu à saluer la réponse des Québécois. «On a beau être loin de chez nous, c'est bon de sentir qu'une compassion s'installe», a-t-elle dit.

Prévue à 15h, la vigile a pris forme sous un vent glacial, dans le silence, le calme, et non sans une certaine anxiété à la vue des mesures de sécurité déployées pour encadrer le rassemblement.

Dans l'étroite rue Saint-Louis, rappelant la capitale française, des centaines de personnes se sont recueillies, drapeau français et maquillages aux couleurs de la République bien en vue. Parmi eux, des Français inquiets et encore sous le choc, se sentant quelquefois trop loin de la maison.

Alice Bébin a reçu des messages textes coup-de-poing, vendredi soir, lui apprenant que des attaques sanglantes se déroulaient à Paris. Scotchée à son téléphone cellulaire, elle n'a eu des nouvelles de ses proches que «tardivement», pour finalement apprendre qu'une amie se trouvait dans un état critique.

 

«J'ai appris qu'une de mes amies était au Bataclan et qu'elle était gravement touchée [...] On ne sait pas encore si elle va s'en sortir», a raconté l'étudiante encore troublée.

La jeune femme aimerait en faire plus, être auprès de ses parents et amis, mais elle est clouée au Québec pour le moment. Retourner en France, «je n'en ai pas les moyens [présentement]», a-t-elle dit, ajoutant qu'elle doit terminer sa session d'études en sol québécois. «Quand on est loin, c'est pire que tout», a-t-elle confié.

Des ressortissants français rencontrés par Le Soleil, en plus de vivre leur deuil, s'interrogent maintenant sur l'après 13 novembre en France. «Est-ce qu'on va pouvoir aller au cinéma le week-end, est-ce qu'on va pouvoir sortir boire un verre? Est-ce qu'on va devoir se restreindre et de pas sortir?» a demandé l'un d'eux.

Plusieurs Français, dont Aline Georges, une autre étudiante, ont tenu à saluer la réponse des Québécois. «On a beau être loin de chez nous, c'est bon de sentir qu'une compassion s'installe», a-t-elle dit.(Québec) Pour une deuxième fois en moins d'un an, le consulat général de France s'est transformé en autel, samedi, dans le Vieux-Québec. Comme pour l'attaque de Charlie Hebdo, des centaines de personnes, dont beaucoup de Français, sont venues honorer la mémoire des victimes, cette fois celles des attentats de Paris.

Prévue à 15h, la vigile a pris forme sous un vent glacial, dans le silence, le calme, et non sans une certaine anxiété à la vue des mesures de sécurité déployées pour encadrer le rassemblement.

Dans l'étroite rue Saint-Louis, rappelant la capitale française, des centaines de personnes se sont recueillies, drapeau français et maquillages aux couleurs de la République bien en vue. Parmi eux, des Français inquiets et encore sous le choc, se sentant quelquefois trop loin de la maison.

Alice Bébin a reçu des messages textes coup-de-poing, vendredi soir, lui apprenant que des attaques sanglantes se déroulaient à Paris. Scotchée à son téléphone cellulaire, elle n'a eu des nouvelles de ses proches que «tardivement», pour finalement apprendre qu'une amie se trouvait dans un état critique.

 

«J'ai appris qu'une de mes amies était au Bataclan et qu'elle était gravement touchée [...] On ne sait pas encore si elle va s'en sortir», a raconté l'étudiante encore troublée.

La jeune femme aimerait en faire plus, être auprès de ses parents et amis, mais elle est clouée au Québec pour le moment. Retourner en France, «je n'en ai pas les moyens [présentement]», a-t-elle dit, ajoutant qu'elle doit terminer sa session d'études en sol québécois. «Quand on est loin, c'est pire que tout», a-t-elle confié.

Des ressortissants français rencontrés par Le Soleil, en plus de vivre leur deuil, s'interrogent maintenant sur l'après 13 novembre en France. «Est-ce qu'on va pouvoir aller au cinéma le week-end, est-ce qu'on va pouvoir sortir boire un verre? Est-ce qu'on va devoir se restreindre et de pas sortir?» a demandé l'un d'eux.

Plusieurs Français, dont Aline Georges, une autre étudiante, ont tenu à saluer la réponse des Québécois. «On a beau être loin de chez nous, c'est bon de sentir qu'une compassion s'installe», a-t-elle dit.

Prévue à 15h, la vigile a pris forme sous un vent glacial, dans le silence, le calme, et non sans une certaine anxiété à la vue des mesures de sécurité déployées pour encadrer le rassemblement.

Dans l'étroite rue Saint-Louis, rappelant la capitale française, des centaines de personnes se sont recueillies, drapeau français et maquillages aux couleurs de la République bien en vue. Parmi eux, des Français inquiets et encore sous le choc, se sentant quelquefois trop loin de la maison.

Alice Bébin a reçu des messages textes coup-de-poing, vendredi soir, lui apprenant que des attaques sanglantes se déroulaient à Paris. Scotchée à son téléphone cellulaire, elle n'a eu des nouvelles de ses proches que «tardivement», pour finalement apprendre qu'une amie se trouvait dans un état critique.

 

«J'ai appris qu'une de mes amies était au Bataclan et qu'elle était gravement touchée [...] On ne sait pas encore si elle va s'en sortir», a raconté l'étudiante encore troublée.

La jeune femme aimerait en faire plus, être auprès de ses parents et amis, mais elle est clouée au Québec pour le moment. Retourner en France, «je n'en ai pas les moyens [présentement]», a-t-elle dit, ajoutant qu'elle doit terminer sa session d'études en sol québécois. «Quand on est loin, c'est pire que tout», a-t-elle confié.

Des ressortissants français rencontrés par Le Soleil, en plus de vivre leur deuil, s'interrogent maintenant sur l'après 13 novembre en France. «Est-ce qu'on va pouvoir aller au cinéma le week-end, est-ce qu'on va pouvoir sortir boire un verre? Est-ce qu'on va devoir se restreindre et de pas sortir?» a demandé l'un d'eux.

Plusieurs Français, dont Aline Georges, une autre étudiante, ont tenu à saluer la réponse des Québécois. «On a beau être loin de chez nous, c'est bon de sentir qu'une compassion s'installe», a-t-elle dit.

Prévue à 15h, la vigile a pris forme sous un vent glacial, dans le silence, le calme, et non sans une certaine anxiété à la vue des mesures de sécurité déployées pour encadrer le rassemblement.

Dans l'étroite rue Saint-Louis, rappelant la capitale française, des centaines de personnes se sont recueillies, drapeau français et maquillages aux couleurs de la République bien en vue. Parmi eux, des Français inquiets et encore sous le choc, se sentant quelquefois trop loin de la maison.

Alice Bébin a reçu des messages textes coup-de-poing, vendredi soir, lui apprenant que des attaques sanglantes se déroulaient à Paris. Scotchée à son téléphone cellulaire, elle n'a eu des nouvelles de ses proches que «tardivement», pour finalement apprendre qu'une amie se trouvait dans un état critique.

 

«J'ai appris qu'une de mes amies était au Bataclan et qu'elle était gravement touchée [...] On ne sait pas encore si elle va s'en sortir», a raconté l'étudiante encore troublée.

La jeune femme aimerait en faire plus, être auprès de ses parents et amis, mais elle est clouée au Québec pour le moment. Retourner en France, «je n'en ai pas les moyens [présentement]», a-t-elle dit, ajoutant qu'elle doit terminer sa session d'études en sol québécois. «Quand on est loin, c'est pire que tout», a-t-elle confié.

Des ressortissants français rencontrés par Le Soleil, en plus de vivre leur deuil, s'interrogent maintenant sur l'après 13 novembre en France. «Est-ce qu'on va pouvoir aller au cinéma le week-end, est-ce qu'on va pouvoir sortir boire un verre? Est-ce qu'on va devoir se restreindre et de pas sortir?» a demandé l'un d'eux.

Plusieurs Français, dont Aline Georges, une autre étudiante, ont tenu à saluer la réponse des Québécois. «On a beau être loin de chez nous, c'est bon de sentir qu'une compassion s'installe», a-t-elle dit.