Foutu Violeurs en Allemagne les Citoyen(es) non marre et son a bout du foutismes de leurs Gouvernements aussi ! et agirons sous peut !"##""$$""$?&

Foutu Violeurs en Allemagne les Citoyen(es) non marre et son a bout du foutismes de leurs Gouvernements aussi ! et agirons sous peut !"##""$$""$?&
PSYCHO & SEXO

 

Viol: Une victime parle Les Allemand(es) non MARRE! et agirons si le Gouvernement n agi pas eux mais bon Merkel elle ce fou de tous ces citoyens et protegent ces Migrant(es) tous comme Trideau est a nous foutre dans un merdiers et nous sommes que des pions et lui le VALET des FRERES MUSULMANS ???????????? oui !!!!

 

Selon des chiffres récents, une femme sur cinq se fera violer dans sa vie. Une réalité qui fait froid dans le dos.

 

Afghanistan, le mois dernier : une jeune femme violée et emprisonnée pour adultère se fait libérer sous condition d'épouser son violeur. Une nouvelle qui a choquée le monde entier. Mais qu'en est-il en Belgique ? Une lectrice parle de son expérience.

Un soir d'octobre 2004, Sacha (nom d'emprunt) se fait sauvagement agressée et violée par deux hommes en pleine rue. « J'ai entendu des pas derrière moi. J'ai tourné la tête et avant de voir quoi que ce soit, j'ai senti une main prendre mes cheveux et jeter ma tête contre le mur. Ensuite, le trou noir. Je sais juste qu'ils étaient deux».

Sos Viol est une association qui aide et guide les victimes après leur agression. « Le vrai nombre de viols en Belgique est difficile à déterminer. Sept victimes par jour portent plainte en Belgique. Certaines études montrent pourtant que ce ne serait que 20% du chiffre réel», dit Patricia, collaboratrice chez SOS viol.

Sacha est ensuite rentrée chez elle et a pris une douche qui a effacé toutes les preuves potentielles. « Une tentative d'effacer ce qui venait de se passer ». Selon Patricia, c'est une réaction très fréquente. « Les victimes se sentent souillées et essayent d'effacer toute trace de ce qui s'est passé ».

Peu de victimes portent plainte contre leur agresseur, Sacha en fait partie : « Je ne regrette pas de ne pas avoir porté plainte car je ne connaissais pas mes agresseurs. Je n'aurais été qu'un numéro de plus dans les statistiques ».

« Nous n'encourageons pas toutes les victimes à porter plainte. C'est une procédure lourde psychiquement et physiquement. Le test médical par exemple, est souvent vécu comme un second traumatisme », dit Patricia.

Dix ans après son agression, Sacha garde des séquelles : « Je suis mal à l'aise quand je suis seule avec un homme : je ne supporte pas qu'il puisse me regarder avec envie, ça me donne une boule dans la gorge et j'ai une montée de colère en moi. J'ai aussi un cauchemar qui revient souvent : je vois des yeux dans le noir et un sourire presque maléfique ».

Selon Patricia de SOS viol, chaque victime aura une réaction différente par rapport à son viol : « Les séquelles sont différentes au cas par cas. Certaines personnes ont des cauchemars, d'autres des blocages ou un sentiment de culpabilité de s'être retrouvées dans cette situation. L'important est de savoir que le seul responsable est l'agresseur. On a toujours le droit de dire non et ce droit doit toujours être respecté ».