«Je suis un guerrier» Un jeune Québécois veut aller combattre les terroristes en Syrie en liens sur mon site tous ces suivi de ces premiers combats venez les voirs et ces amis
Un vrai Patriote meme des Québécois son prêt a reprendre les armes !!
En prenant les armes en territoire syrien, Charles-Michaël Gallant pourrait soutenir l’effort de la coalition internationale, anticipe-t-il.
«Influencé» par le soldat Wali, un jeune de la région de Québec s’apprête à aller combattre le groupe armé État islamique en Syrie, se disant prêt à mourir pour ce peuple et «pour protéger notre démocratie».
Charles-Michaël Gallant fait partie, avec des amis, d’un groupe de 10 jeunes de la région qui veulent aller se battre auprès des troupes kurdes contre les terroristes de l’État islamique. «Ces gens-là [les Syriens] méritent la paix et un peu de tranquillité», dit-il.
Âgé de 20 ans, il est convaincu qu’il sera plus utile sur le champ de bataille qu’en restant ici, à Québec, les bras croisés.
«Je suis un guerrier», a affirmé le jeune homme en entrevue au Journal. «Ici, je suis juste un petit Québécois. Je ne trouvais pas que j’avais un gros impact.»
Soutenir l’effort de la coalition
En prenant les armes en territoire syrien, il pourrait soutenir l’effort de la coalition internationale, anticipe-t-il.
«Ils ne veulent pas envoyer des troupes au sol. Là, je pourrais faire une grosse différence. Car, pour mener une attaque contre cet ennemi, ça prend une coordination entre les troupes dans les airs et au sol», critiquant ainsi les pays occidentaux.
D’ailleurs, il réclame un plus grand rôle du Canada dans la coalition internationale. «Nous souhaitons l’éradication du terrorisme et l’envoi de troupes au sol en Syrie», explique le jeune homme.
Il détiendrait notamment des contacts en Syrie et il saurait déjà comment se procurer des armes sur place. «Il faut savoir réagir face à la menace», précise Charles-Michaël.
Entraînement sur des simulateurs
Pour entrer en Syrie, il veut rejoindre un pays limitrophe, comme l’Iran. «Je vais essayer de passer les lignes. Je connais quelques personnes là-bas. Je suis en train de monter mon programme», a expliqué le garçon, avouant que ses parents n’étaient pas au courant de son plan.
Même s’il n’a jamais été dans les rangs de l’armée comme son idole Wali, Charles-Michaël estime qu’il est assez préparé pour affronter les tirs ennemis. Il a déjà été membre des cadets et il s’est énormément entraîné sur des simulateurs d’armes.
«J’ai passé ma vie à étudier l’armée. J’ai été formé au tir dans les cadets. J’ai été à la chasse. J’ai utilisé beaucoup de simulateurs de combat professionnel», a-t-il mentionné.
De plus, il espère que des vétérans voudront aider sa troupe à s’entraîner dans le but d’un combat «éminent».
Aujourd’hui, seul le manque d’argent et de matériel ralentit l’élan de Charles-Michaël et ses acolytes. «On ne peut rien faire si on n’a pas de financement», a affirmé le jeune.
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QUI EST CHARLES-MICHAËL GALLANT?
- Jeune de 20 ans
- Travailleur autonome et réceptionniste
- Originaire de Sept-Îles, il habite maintenant à Québec
«Oui, je suis prêt à mourir. Parce que j’ai du sang de guerrier en moi et que je crois en l’humanité. Avec l’effort de tout le monde, on peut faire une différence. En tant qu’humain, c’est la meilleure contribution que je peux apporter au monde.»
- Un ancien militaire des Forces canadiennes choqué par ce qui se passe en Syrie et qui combat l’État islamique en Syrie auprès des Kurdes.
- Il a une «aversion» envers les soldats de l’ÉI qu’il compare à des barbares.
- Il aide les Kurdes grâce à son expérience de tireur d’élite.
- Sur le terrain, il filme les combats et sa vie en Syrie pour raconter son expérience dans un documentaire.
- Les commentaires sont modérés
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Sami Mouzai Pff, "Wali" est un soldat de carrière, il a reçu un entrainement intensif, il a travaillé dur.
Partir comme ça sans aucune connaissance, c'est un peu l'extrême de ceux qui partent en Syrie pour joindre EI. Pas pour les même raisons, mais dans les 2 cas c'est sur un coup tête et souvent sans avoir toutes les informations.
Luc .A je me demande si on ne devrais pas commencer à censurer les média . tout le monde dit tout et n'importe quoi . trop d'informations sont donné à répétition sans fin en plus . les terroriste s'en servent même contre nous . on en dit trop . les média sont en train de créer une psychose collective les journalistes ont besoin de dire n'importe quoi pour avoir de quoi à dire mais est-ce utile ?????? et favorable . pas certain . ils sont fort sur la controverse .
Léon Jaurès Très mauvais article qui a sans doute échappé à l'intelligence du Journal. «Le petit jeune qui pense qu'il peut faire une grosse différence» dans la guerre en Syrie et qui se voit en héros de guerre fait partie du problème et non pas de la solution. Il ne comprend peut-être pas que vous lui accordez de l'importance parce qu'il est un cas extrême d'aveuglement. Et là vous lui montez la tête. Il va peut-être se prendre pour un héros, alors qu'il est particulièrement «naïf et innocent» de penser ainsi". D'autres pourraient croire la même chose. C'est un très gros manque de jugement.
Suzy Kiprien On vit la même situation que la 2e guerre mondiale. Au début, on s'est fermé les yeux. On s'est impliqué uniquement à la fin. Combien de millions de morts?
Le mouvement de la Résistance a joué un rôle important dans cette guerre et on leur doit une fière chandelle. Les Résistants furent presque tous des jeunes, plusieurs de certains pays rejoignant les groupes d'autres pays.
Ils comptent parmi les héros de première ligne de cette guerre.
adil Ben Il faut encourager ce jeune patriote parce qu'il est humaniste. il pense comme quelqu'un qui a déjà vécu une longue vie!
CentreQc Je ne pense pas que ses jeux vidéos lui ont appris à évoluer sans nourriture et sans sommeil pendant des nuits, mort de froid, tout en essuyant les balles de l'ennemi.
Je lui souhaite bonne chance ceci dit.
Danielle Benoit Bravo Monsieur,
Vous avez beaucoup de courage!
Nous aimerions en dire autant de tous ces couards syriens dans la force de l'âge qui préfèrent venir se réfugier dans les jupes du Canada plutôt que de faire face à la musique en affrontant l'E.I.
Lilas P @Danielle Benoit Pardon, mais est-ce que vous avez vraiment écrit "ces couards de syriens''. Vous êtes bien entrain de parler de cesgens qui vivent depuis 4 ans dans la guerre a essayer de survivre tant bien que mal et dont la solution finale reste à traverser la méditerranée avec un petit pneumatique pour sauver leur famille? Vous avez raison, c'est vraiment des gens qui manquent de courage!
Votre commentaire manque de respect. C'est ben facile critiquer une situation quand on est confortablement assis dans notre salon et qu'on a jamais vécu la guerre.
Henri Goleau Les psychopathes ne lâcheront jamais le morceau, l'envoi de troupes au sol est inévitable et s'il y a ne serait-ce que «juste un petit Québécois» prêt à se sacrifier j'ose penser qu'il y a des milliers d'Irakiens et de Syriens parmi les réfugiés prêts à le suivre pour libérer leurs pays. La formation que le Canada veut dispenser là-bas devrait aussi se faire ici et on devrait accueillir les «jeunes frustrés» de Labeaume s'ils s'engagent dans cette voie.
Suzy Kiprien Charles-Michaël Gallant: Vous êtes un jeune homme admirable. Conseil: ne jamais entrer en Iran illégalement.
Ce jeune homme est radicalisé. Maintenant, il veut tuer.