‘Les musulmans sont les maîtres du monde’ : Le Chronicle Herald publie un article sur la brutalité perpétrée par des enfants réfugiés à Halifax puis le retire...Sur les ordres de qui déjà ?

TRADUCTION FRANÇAISE DE POINT DE BASCULE

Référence : The Chronicle Herald / Halifax, 8 avril 2016

Titre original : Parents worried over school kids’ brutality at Chebucto Heights Elementary School / BCF

[EXTRAITS] HALIFAX – Des parents inquiets ont rapporté des cas de violence par des élèves réfugiés qui fréquentent l’école primaire Chebucto Heights depuis peu.

 

Des rapports selon lesquels des élèves ont étouffé, poussé, frappé et abusé verbalement d’autres élèves ont amené les parents à se demander si l’école prenait les mesures disciplinaires appropriées.

«Il y a toujours eu des batailles et des querelles à l’école mais jamais à ce niveau-là», déclare Missy, la mère de deux enfants qui fréquentent Chebucto Heights. Elle a demandé d’être simplement identifiée par ce pseudonyme pour les fins de cet article.

Selon Missy, sa fille qui est en 3e année s’est fait étouffer deux fois la semaine dernière, lundi et jeudi, par des élèves qui sont des réfugiés. Chaque fois, ils ont utilisé une chaîne. Elle n’a pas pu préciser ni la force ni la grosseur de la chaîne. Les garçons criaient ‘Les musulmans sont les maîtres du monde’ pendant qu’ils l’étouffaient. Le personnel de l’école est intervenu mais selon ce qu’elle sait, les élèves n’ont pas été punis.

Selon la Commission scolaire de Halifax, les réfugiés ont commencé à s’inscrire à Chebucto Heights dans le quartier Cowie Hill de Halifax à la mi-février.

Le porte-parole de la Commission scolaire, Doug Hadley, a dit qu’en date de la semaine dernière, il y avait 252 élèves réfugiés inscrits dans la région alors que 71 autres attendent d’avoir trouvé un logement permanent.

Le fils de Missy, qui est en 5e année, a également été l’objet de coups durs sur le terrain de soccer. Durant les parties, on rapporte que les élèves réfugiés prennent leur pouce et le passent de gauche à droite sur leur cou en regardant leur vis-à-vis dans les yeux pour imiter quelqu’un qui tranche une gorge.

Missy dit que l’école a répondu à cela et à d’autres cas de violences en annulant le soccer et les autres compétitions sportives à l’école. […] [Le porte-parole de la commission scolaire] répond qu’il n’y a pas de lien entre l’annulation des activités parascolaires et les gestes violents.

Une autre mère, qui veut garder l’anonymat, rapporte que sa fille a été giflée après un désaccord avec un autre élève. Sa fille a rapporté l’incident à l’enseignant.

«L’école ne m’a même pas contacté pour me le laisser savoir.»

La mère a contacté l’école et laissé un message mais personne n’a retourné son appel. Elle dit que sa fille l’a suppliée de ne pas la renvoyer à l’école en raison de l’intimidation constante.