l'indépendance, que de toute façon le PQ ne fera jamais vu son caractère peu rassembleur et même hostile à la dimension identitaire sinon nationale

l'indépendance, que de toute façon le PQ ne fera jamais vu son caractère peu rassembleur et même hostile à la dimension identitaire sinon nationale

 l'indépendance, que de toute façon le PQ ne fera jamais vu son caractère peu rassembleur et même hostile à la dimension identitaire sinon nationale.

 

Il faut arrêter de se conter des sornettes ou de se faire des illusions gagaïsantes. La partisannerie aveugle et servile rend toujours idiot. La réalité est brutale : tout indique qu'avec un chef comme Alexandre Cloutier, le PQ sera nettement multiculturaliste et anti-laïque. Le PQ n'est donc plus un parti rassembleur mais un parti pétrifié par le politiquement correct et essentiellement gauchisant, technocratique, multiculturaliste, bien-pensant, à l'image du parti de Justin Trudeau, fédéralisme en moins. Le PQ exclut donc ce qui ne correspond pas à ces approches idéologiques réductrices, alors que son rôle devrait être de rassembler toutes les forces et mouvances nationales du Québec.


Il faut faire en sorte que le nouvel échec à prévoir de ce parti ne soit plus synonyme d'échec du Québec, et ce d'autant plus que l'unique enjeu de la prochaine élection ne sera pas l'indépendance, que de toute façon le PQ ne fera jamais vu son caractère peu rassembleur et même hostile à la dimension identitaire sinon nationale, mais il s'agira carrément de sauver le Québec, donc de battre le gouvernement Couillard à tout prix. Car si Couillard est réélu, il n'y aurait plus de Québec à rendre indépendant. Et pour battre Couillard, il n'y a pas seulement le PQ comme offre politique.

 

Écoutez cette emission de Daniel lapres et l animateur Francois ICI !