5 Articles en 1 À Lire ! Notre amie l’Arabie maudite! Par fatima Houda-Pépin la vérité sort toujours en bout de ligne lisez ces points précis !
Ainsi, le ministre des Affaires étrangères de l’Arabie saoudite, Adel al-Jubeir, est venu en mars, à Washington, menacer l’administration Obama et les membres du Congrès de représailles, s’ils s’avisaient d’adopter un projet de loi qui tiendrait son royaume responsable des attentats du 11 septembre 2001, devant la justice américaine.
Quand l’argent parle !
Selon le New York Times, qui l’a révélé le 15 avril dernier, la menace qui pèse sur les représentants du Congrès est claire, l’Arabie maudite n’hésitera pas à mettre leur économie à terre, en vendant 750 milliards de dollars d’avoirs qu’elle détient en titres de Trésor et d’actifs américains, si un tel projet n’est pas retiré.
Pourtant, la preuve est faite que ces attentats ont été commandités par le Saoudien Oussama Ben Laden. Parmi les 19 terroristes qui les ont exécutés, 15 étaient saoudiens et le financement provenait des rangs mêmes de la monarchie wahhabite.
N’empêche, la plus grande démocratie du monde ne peut contrarier le despote d’Arabie et même la justice américaine doit s’incliner devant le courroux salafiste. Voilà qui est édifiant pour tous les dirigeants occidentaux qui soutiennent cette monarchie décadente et ferment les yeux sur sa barbarie.
« Notre allié stable », vraiment ?
Dans ses récentes déclarations, le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Dion, voyait en cette Arabie maudite un «partenaire clé du Canada et un allié stable dans une région minée par le terrorisme et les conflits».
Mais qui finance le salafisme et le terrorisme dans le monde depuis des décennies, sinon cette monarchie de l’apocalypse? Comment peut-on prétendre à la stabilité au Moyen-Orient quand on soutient un régime aussi tyrannique et aussi corrompu? Comment peut-on parler de construire une «paix juste» et d’«injecter de la confiance dans le monde» quand on vend des armes, au mépris de nos lois, à des psychopathes qui les sous-traitent aux groupes djihadistes, qui les retournent contre nous?
226 COMMENTAIRES
J'ai tellement hâte de voir l'industrie du pétrole tomber par terre afin que l'Arabie Saoudite cesse de faire du chantage.
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@Menfout @Roger Bontemps @Ismael Kolbe En fait FATIMA , dénonce le radicalisme, que ce soit l'antisémitismes, le salafismes, etc.
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@Benton Fraser Tellement bons que tu n'est pas capables d'en résume les thèses mais faire du name dropping comme ça ça fait paraitre le gars intelligent.
@Jerome Labbe @Menfout @Benton Fraser Je ne suis pas du tout énervé. Mais je connais ce gars, c'est plus genre, je veux paraitre intelligent et cacher mes sentiments racistes.
Mme Houda Pepin doit faire attention car ses propos ne st pas bien accueilli ds la communauté musulmanne au Québec
l'Arabie saoudite est le berceau de l'islam et le symbole pour les musulmans sunnites car ce pays pratique le Shariaa islamique a la lettre comme c'est prescrit par le koran et les ahadiths
@SamirMakdis Beaucoup ignore le C.o.r.a.n., en ont h.o,n,t,e, et font de l'aveuglement volontaire.
Les 750 milliards de dollars sont uniquement en bons du trésor pas en actifs. Les investissements saoudiens aux USA sont de 1.000 milliards de $ et l'Arabie Saoudite a annoncé la création d'un fonds souverain de 2.000 milliards de $ pour investir et détenir (contrôler) cinq sociétés majeures occidentales pour assurer l'après-pétrole. Vous n'avez surement pas fini de voir les princes saoudiens et leurs familles...N'oublions pas le Quatar
Il y a aussi la Chine, 3.000 milliards de $ de bons du trésor, dont la politique humanitaire, le respect des droits de l'homme, l'invasion du Tibet depuis plus de 50 années, la destruction de la culture et du peuple tibétain, etc, font apparaître l'Arabie Saoudite pour une plaisanterie, que voulez-vous nous aimons les articles bon marché chez Canadian Tire, Wallmart, etc. La Chine comportant 150 millions de musul-mans et la répression fé-roce de la Chine à l'égard des peuples Ouïghours se poursuivant sans interruption depuis 2001, détentions arbitraires, condamnations et mises à mo-rt, imposition de la langue chinoise, discriminations sans limites, je m'attends à quelques nouvelles de ce côté...
On peut signaler à Madame, que Ben Laden avait été déchu de sa nationalité saoudienne et expulsé du pays, bien avant les attentats...il était lui et ses camarades si pratique en Afghanistan, nous avons été ses créateurs, et précisons à Madame que l'Iran est le pays, après nos amis chinois, qui utilise le plus la peine de mo-rt (4 fois plus que les saoudiens en fait...).
Da-esh ou Is-is est aussi notre enfant, la des-truction de l'Irak et de la Lybie, la guer-re civile en Syrie financée par le Quatar et organisée par les USA, la France, soutenue par l'Egypte, la Jordanie, depuis 15 années plus de 2.000.000 de mo-rts dans cette partie du globe, les pays dé-truits qui étaient des états ont été remplacés par des lieux de non-droit ou se déploient les ban-des ar-mées qui se servent de la re-ligion comme excuse...
Reste les vocifé-rations locales qui ne changeront strictement rien....
@Roger Bontemps @cestsansespoir Je ne suis pas là pour ton éducation, ces informations sont disponibles auprès de Reuters, sur le web, sur le site d'Amnesty, à l'agence France-Presse, sur Blomberg, etc, pas de temps à perdre à argumenter avec un mur.
@cestsansespoir @Roger Bontemps
Éducation?
On veut voir les sources de tes histoires.
Car on le sait bien tu n'a aucune crédibilité quoi que ce soitÙ!
@Roger Bontemps @cestsansespoir
Bontemps tu te fais planter solide aujourd'hui par un gars plus éduqué que toi , hahahahaha....
@Jean Dit de la néersertiniesse @Roger Bontemps @cestsansespoir
Aucunement.
On veut voir la source de ses histoires.
@Ismael Kolbe @cestsansespoir @Roger Bontemps
Mais quand on cite des affaires c'est la responsabilité de celui qui les énonce de les prouver!
On peut presque dire que l'Arabie Saoudites possède en quelque sorte la destiné futur des USA. Nos amis du Sud doivent se sentir fière de leur gouvernement. Pour le pays qui se targue d'être le plus puissant du monde, ça laisse songeur.
Leur alliance avec ce pays dans les années 30 ce voulait une bénédiction pour le régimes des Saouds, et aujourd'hui, on se rend compte que finalement, ce n'est peut-être pas les USA qui ont le gros bout du bâton.
Mme Houda-Pépin, c'est à l'ORGANISATION DES NATIONS-UNIES, L'ONU, que vous devriez travailler. Vous leur êtes INDISPENSABLE. Vous NOUS êtes indispensable. Pensez-y. Merci.
@Maryse BBQ C'est la plus grosse bureaucratie , elle n'aura pas sa liberté de parole. Elle est mieux de rester indépendante.
@trolls libéraux
Avez-vous terminer d'insulter une dame honnète qui sait de quoi elle parle?
Madame Houda-Pépin, vous êtes une femme courageuse de donner votre opinion en des termes aussi clairs, sans détours. Je trouve intolérable que le Journal de Montréal n'exige pas de ses lecteurs qui font des commentaires qu'ils ne s'identifient pas avec leur vraie identité. Trop de personnes ou d'organisations politiques se cachent derrière des pseudonymes pour invectiver les chroniqueurs ou les autres lecteurs qui utilisent leur varie identité, sans que personne de l'édition du Journal n'intervienne.
Bien raison madame Fatima
+Faut aller plus en arrière que les libéraux dans ça ,même les Conservateurs leur ont vendu des blindés
Oùsse qu'y d'l'argent à faire ,on est là `
À part de ça on sait que l'Arabie finance avec l'argent du pétrole pour de la propagande au Québec et au Canada et y doivent financer aussi c'qui fait l'affaire de nos politiciens n'est-ce pas
Au contraire Mme Pepin est lucide
Un pays où il n'y a pas de respect des droits humains ne devrait pas faire partie de nos ''alliés''
Au contraire Mme Pepin est lucide
Un pays où il n'y a pas de respect des droits humains ne devrait pas faire partie de nos ''alliés''
AU contraire elle a entièrement raison.
On comprend que les lobotomisés du Quebec Liberal suivent aveuglément le grand ami de l'Arabie et de ses sheiks j'ai nommé Couillard. On aurait vu le courage de Dion et Troudo s'ils s'étaient tenus debout pour ce qu'ils disent «leurs principes»,
@Marc Charland A vous lire, vous me semblez contre les sonneurs d'alertes. Voire peut être contre ceux qui déranges les '' vrais affaires'' faites au dépends des humains. Je ne fais que vérifier !
@Marc Charland Et vous monsieur vérité vous êtes heureux d'avoir parmi vos alliés un pays qui soutient le terrorisme? Votre commentaire n'a aucun lien avec le sujet abordé par madame Houda-Pépin sauf évidemment la partisannerie.
@Marc Charland Ce n'est pas le plq qui s'en est défait. C'est ELLE-MÊME qui a quitté ce parti de corrompus.
Vous dites n,importe quoi sans aucune preuve, on n'a pas à se mêler des affaires internes d,un pays madame, au PLQ ils vous ont montré la porte, je comprends maintenant pourquoi.
@Jean Dit de la néersertiniesse
On constate encore une fois l'esprit fort limité du bouffon libéraleux fédéraleux!
Pour lui aussi l'intégrisme est une affaire de croyance personnelle!
@Jean Dit de la néersertiniesse Sans aucune preuve? Désolé mais le New-York time a beaucoup plus de crédibilité que vous. J'irais même jusqu'à dire que vous n'en avez aucune.
@NiPourNiContreBienAuContraire @Jean Dit de la néersertiniesse
Ses seules crédibilités sont celle du mensonge, de la fabulation et du ridicule!
@Jean Dit de la néersertiniesse Mais les entreprises Etatiques et non étatiques peuvent , elles s'ingérer dans le processus décisionnels du Gouvernement pour conclure des Accords de Libres Echanges ? Encore une fois au dépend des lois de l'Etat et en faisant en sorte que l'Etat diminue ses pouvoirs juridiques contre ces entreprises.
Encore bravo pour avoir écrit ce que nombre d'entre nous pensent tout bas, faute d'avoir une chronique dans un journal ou un poste de radio pour clamer fièrement la même rengaine que vous. Le Canada nouveau (celui de selfie Trudeau et cie, dont l'ineffable Dion) n'a pas une grande préoccupation pour les droits humains si l'argent est en jeu. On lance des paroles en l'air, certes, on les aboute les unes aux autres pour plaire à la masse, mais quand il s'agit de passer aux actes, si l'argent est là, on choisit d'abord et avant tout " son " maître.
L'Arabie Saoudite, qui finance la plupart des mouvements terroristes sur cette planète, serait considérée par le Canada comme un pays ami et stable ? Qui y croit, sinon Trudeau et son ministre des Affaires étrangères...
Continuez, Madame, de dire tout haut ce qu'il faut dire pour éveiller les consciences. Mais sachez que cela prendra du temps dans ce nouveau Canada qui ménage la chèvre et le chou.
au fait ,combien de réfugiés les amis du selfie on pris en charge ?
et oui , zéro
c'est ce que l'on appel de la collaboration
Le 11 septembre a fait beaucoup de mal aux États-Unis. Mais l'Arabie saoudite est-elle le seul pays à vouloir du mal aux US ? L'iran aussi leur en veut du mal. Qu'ont ces 2 pays en commun : l'Arabie saoudite et l'Iran ?
Je vous lève mon chapeau de dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas et n'oseront jamais dire. Vous êtes un plus pour le Québec Mme Houda-Pépin. S'il y avait plus de personnes comme vous au Québec, celui-ci s'en porterait beaucoup mieux.
Bravo... ça fait du bien de ne pas se sentir seuls à penser à comprendre qu'il y a une game derrière amour des Islamistes.
Vous avez tout à fait raison mais nos dirigeants occidentaux n'ont aucune volonté de régler ce problème et pendant ce temps des millions de personnes du peuple en souffrent pour que ses despotes continuent à s'enrichir avec des investissements partout dans le monde (et même au Canada)!!! Ils ont l'approbation de nos dirigeants au nom du sacro-saint "ARGENT"!!
Si ça ce n'est pas le "MAL", sur Terre, qu'est-ce que c'est vraiment le "mal"???!!!?
Bravo... ça fait du bien de ne pas se sentir seuls à penser à comprendre qu'il y a une game derrière amour des Islamistes.
Vous avez tout à fait raison mais nos dirigeants occidentaux n'ont aucune volonté de régler ce problème et pendant ce temps des millions de personnes du peuple en souffrent pour que ses despotes continuent à s'enrichir avec des investissements partout dans le monde (et même au Canada)!!! Ils ont l'approbation de nos dirigeants au nom du sacro-saint "ARGENT"!!
Si ça ce n'est pas le "MAL", sur Terre, qu'est-ce que c'est vraiment le "mal"???!!!?
J'attends l'intervention du tartuffe local qui va nous expliquer que c'est éthique de vendre des autobus à la Chine....mais pas des ar-mes à l'Arabie Saoudite..
Surtout qu'il y a une grosse différence pourtant pas tellement difficile à voir entre des autobus et des véhicules blindés !
@jean-claude archetto @Pepe le Moko @cestsansespoir Il y a aussi la Chine, 3.000 milliards de $ de bons du trésor, dont la politique humanitaire, le respect des droits de l'homme, l'invasion du Tibet depuis plus de 50 années, la destruction de la culture et du peuple tibétain, etc, font apparaître l'Arabie Saoudite pour une plaisanterie, que voulez-vous nous aimons les articles bon marché chez Canadian Tire, Wallmart, etc. La Chine comportant 150 millions de musul-mans et la répression fé-roce de la Chine à l'égard des peuples Ouïghours se poursuivant sans interruption depuis 2001, détentions arbitraires, condamnations et mises à mo-rt, imposition de la langue chinoise, discriminations sans limites, je m'attends à quelques nouvelles de ce côté...
excellent commentaire mme, mais, vous ne semblez pas avoir peur? qui êtes-vous pour ceux qui mettent à genoux la toute puissant USA? rien.
ha oui, je n'aime pas le gouvernement trudeau, mais il hérite du problême conservateur.
Les 750 milliards de dollars sont uniquement en bons du trésor pas en actifs. Les investissements saoudiens aux USA sont de 1.000 milliards de $ et l'Arabie Saoudite a annoncé la création d'un fonds souverain de 2.000 milliards de $ pour investir et détenir (contrôler) cinq sociétés majeures occidentales pour assurer l'après-pétrole. Vous n'avez surement pas fini de voir les princes saoudiens et leurs familles...N'oublions pas le Quatar
Il y a aussi la Chine, 3.000 milliards de $ de bons du trésor, dont la politique humanitaire, le respect des droits de l'homme, l'invasion du Tibet depuis plus de 50 années, la destruction de la culture et du peuple tibétain, etc, font apparaître l'Arabie Saoudite pour une plaisanterie, que voulez-vous nous aimons les articles bon marché chez Canadian Tire, Wallmart, etc. La Chine comportant 150 millions de musul-mans et la répression fé-roce de la Chine à l'égard des peuples Ouïghours se poursuivant sans interruption depuis 2001, détentions arbitraires, condamnations et mises à mo-rt, imposition de la langue chinoise, discriminations sans limites, je m'attends à quelques nouvelles de ce côté...
On peut signaler à Madame, que Ben Laden avait été déchu de sa nationalité saoudienne et expulsé du pays, bien avant les attentats...il était lui et ses camarades si pratique en Afghanistan, nous avons été ses créateurs, et précisons à Madame que l'Iran est le pays, après nos amis chinois, qui utilise le plus la peine de mo-rt (4 fois plus que les saoudiens en fait...).
A oui, et le congrès Américains est a majorité républicain qui supporte le peuple juifs d'Israel, rien n'est parfait sur cette terre.
Les Saoudiens ont peurs que ça soit M.Trump qui devienne Président, parce qu'avec lui, les choses vont changer... Je déteste les dirigeants Saoudiens et lraniens actuels !
Ben voyons...
Trump a des liens financiers avec une kyrielle de princes saoudiens. Il s'est écrasé quand la famille royale a commencer à dénoncer ses propos anti-musul-mans...
Et que feriez-vous, Mme, à leurs place ??? Facile d'en parler, de dénoncer devant son petit café.
@Mon commentaire Cette Dame est une militante qui sait de quoi elle parle. Et toi, "mon commentaire", tu es qui pour critiquer cette grande Dame ? Ca prend une décision politique pour régler le problême....Ils n'ont qu'à nationaliser ce que semble posséder les Saoudiens.....Et les crisser dehors ensuite.....
@André Martin cette dame est une frustrée qui a quitté son parti politique parce qu'on lui a demandé de travailler en équipe, ce qu'elle est incapable de faire!
@Benoit Lambert faux cette dame a quitte les liber0s car elle a ses valeurs et convictions et ne voulaient pas faire comme les autres moutons qui sont des "yesman"...
Faux.
O a vu la position intégriste de Couilalrd...
L'ami des al Saoud!
@Mon commentaire Le Canada ne pèse pas grand chose dans cette partie du monde...Les seuls qui comptent, les USA et la Russie.
@Jean Bottari Hum..un petit rappel. Les industirels américains aimaient beaucoup notre ami Adolf jusqu'en 1939...il était sans ménagement pour les communistes et les syndicalistes...
Les gens qui disent que c'est pas grave si le Québec et le Canada dépensent et vivent au dessus de leur moyens.
Cette dette, elle appartient à quelqu'un, et ensuite les propriétaires de cette dette peuvent nous contrôler et nous forcer à agir contre nos intérêts.
Avant de penser faire l'indépendance du Québec, il serait beaucoup plus sage de faire l'indépendance financière du Québec en cessant d'empiler déficit par dessus déficit, le problème avec les Québécois c'est jamais dans ma cour pour les coupures ...
Tant que le Québec ne sera pas indépendant nous dépendons du fédéral et nous ne sommes pas maître chez nous et de nos décisions .
NOUS SOMME DÉPENDANT D'OTTAWA et nous u Québec on a qu'à faire Bê-Bê-Bê comme font les fédéralistes au Québec.
Tant qu'on va laisser les autres décider à notre place nous seront à genoux.
Il nous est impossible d'être maître chez nous tant que nous ne déciderons pas de nos LOIS sans que la cour suprême le les défassent ,De IMPÔTS et de nosTRAITÉS.
Le gouvernement fédéral(OTTAWA) c'était engagé dans certains programmes comme la santé et d'autre de défrayer les coûts avec le gouvernement du Québec de 50/50 et de plus en plus le fédéral se désiste .Il est rendu à moins de 30 cents dans la piastre donc qu'est ce qui arrive ?
Le gouvernement du Québec ne paie plus 50% ou $0.50 dans la piastre mais $0.70 et c'est aussi dans d'autres engagement ce qui incite au déséquilibre budgétaire du Québec.
Comment faire un budget équilibrer quand le fédéral joue toujours sur le montant qu'il va verser au Québec ? Ce qui varie toujours .
Le fédéral nous coûte très chère et c'est ce gouvernement qui nous limite toujours dans notre progression.
Bien sur que ce ne sont pas les libéraux fédéralistes accrocher aux mamelles du fédéral qui préfère faire parti d'une fédération et recevoir le $ 9 MILLIARDS de péréquation plutôt que de garder chez nous le $47-50 MILLIARDS chez nous pour nos besoins.
C'est si dur à comprendre?
Félicitation Madame pour votre courage d'appeler un chat un chat. Que peut-on, nous le peuple, faire contre ces associations immorales de nos gouvernements?
La démocratie ne fait pas le poids devant le FRIC . Cette supposée démocratie dont se vantent les pays occidentaux et leurs gouvernements face aux pays arriérés et anti -démocratique est secondaire quand la business se montre le bout du nez . Imaginez un peu si vous seriez amis avec des criminels qui abusent des membres de votre famille pour des raisons d'affaires '' J'aime pas ça quand tu t' en prend a ma famille mais nous pouvons quand même faire des affaires ensemble '' car les affaires c'est les affaires .
La famille de Ben Laden était assez proche de la famille Bush il n'y a pas si longtemps et que dire de Sadam Hussein . Un prince de l'Arabie Saoudite reçoit la médaille de la Légion d' Honneur gracieuseté de François Hollande . Stéphane Dion accepte de vendre des véhicules blindés de l'armée a l' Arabie Saoudite tout en nous faisant des pirouettes olympiques pour justifier ce deal . Et le plus inquiétant , l' Arabie Saoudite est membre de la Coalition contre occidentale contre l' EI . Le loup dans les bergerie !
Mais pourquoi s'en faire ! Business as usuel !
Couillard les comprend et les respecte car il sait que nous savons rien de notre premier ministre...mais eux ...hummmm
Et voila une bonne partie de la verité ....c une raison de plus de pas faire confiance a mr couillard qui a été tres proche de ces gens pendant plusieurs année avent de devenir premier ministre......
Les députés collecteurs:
La dernière chose à laquelle s'attendent les députés nouvellement élus, quel que soit le parti auquel ils appartiennent, c'est de faire du financement politique. Ils apprennent leur métier à la dure, le plus souvent dans le feu de l'action. Recueillir de l'argent, alors qu’ils prennent leurs quartiers au Parlement, à Québec, c'est le dernier de leurs soucis.
Le coffre à outils des élus
À leur entrée en fonction, les députés sont accueillis par l'Assemblée nationale, sans distinction d'allégeance. L’Assemblée leur offre des séances de formation et les familiarise avec leur triple rôle de législateurs, de représentants des citoyens et de contrôleurs de l'action gouvernementale. Ils découvrent ainsi la complexité de la tâche qui les attend.
Afin de les soustraire à toute influence occulte et leur permettre d'agir sans contrainte, l'Assemblée nationale met à la disposition des députés un ensemble de services d'accompagnement pour le fonctionnement de leurs bureaux de comté et au Parlement ainsi que des budgets annuels, pour couvrir leurs dépenses permises, le tout, sur présentation de factures et vérification de l'administration parlementaire.
L'Assemblée nationale dote également chaque formation politique – libérale, péquiste, caquiste et solidaire, de même que les députés indépendants – de ressources et de budgets, en soutien à leur travail parlementaire.
Alors qu'ils assurent une présence dans leurs circonscriptions, de façon autonome, avec l'appui de leur personnel politique et administratif, à l'Assemblée nationale, c'est en équipe, au sein de leurs caucus respectifs, que les députés effectuent une bonne partie de leur travail législatif et politique.
Les voilà donc bien équipés pour assumer les responsabilités qui leur incombent en matière de législation, de représentation et de défense des intérêts supérieurs du Québec.
Mais les députés appartiennent aussi à des partis politiques sous la bannière desquels ils se font élire et dont ils défendent les couleurs. Ce sont donc, à la base, des militants. Le financement politique apparaîtra sur leur écran radar, lorsque les dirigeants de leurs partis s’inviteront à leur caucus pour solliciter leur collaboration.
Le Québec à l'avant-garde
Les histoires de caisses électorales occultes et de corruption jalonnent notre histoire depuis que les partis politiques existent. Il aura fallu attendre l'arrivée au pouvoir de René Lévesque pour que le Québec prenne un tournant décisif, avec le dépôt, en mars 1977, du projet de loi 2, sur le financement des partis politiques, qui a propulsé l'Assemblée nationale à l'avant-garde des parlements de type britannique, en matière d'assainissement des mœurs politiques.
Ce projet de loi, parrainé par Robert Burns, bannissait les contributions des entreprises, syndicats, coopératives et associations de toutes sortes et limitait le maximum des contributions individuelles à 3000 $ par année, un montant qui sera ramené à un maximum de 1000 $, par année, en 2010 et à 100$, en 2012.
Les députés sont aussi des militants
J'ai fait mon entrée à l'Assemblée nationale, à titre de députée libérale de La Pinière, en 1994, alors que Daniel Johnson était chef de l'opposition officielle.
C'est lors d'un de mes premiers caucus que les représentants du parti sont venus nous parler de financement. Les députés ont été invités à y participer. La démocratie a besoin d'argent et chaque parti doit défendre ses valeurs, ses candidats et ses engagements. En ce sens, les députés sont aussi des militants et doivent contribuer au rayonnement de leur parti et à ses idéaux, le tout dans le respect de la loi.
Lors de la présentation qui nous a été faite, cette année-là, et les années subséquentes, il n'a été question que de financement local, celui où les députés sont appelés à s'investir eux-mêmes, dans leurs comtés. À plusieurs reprises, des avis nous ont été donnés pour s'assurer du respect de la loi électorale, bien choisir nos présidents de financement, voir à une foule de détails, notamment de bien remplir les rapports de chaque activité de financement ainsi que les formulaires des donateurs pour le Directeur général des élections (DGEQ).
Une enveloppe a été distribuée à chaque député, au nom de sa circonscription, avec les objectifs à atteindre au chapitre du membership et du financement, ce dernier étant déterminé en fonction du niveau de richesse de chaque comté. C'était également la pratique au PQ. L’objectif de financement du comté que je représentais, La Pinière, avait été établi, avant même mon arrivée en politique, à 40 000 $ par année. Il a été maintenu à ce niveau jusqu'en 2001, où il a été rehaussé à 45 000 $, puis à 50 000 $, en 2003.
Le financement local
Dès 1994, avec mon exécutif de l'association libérale locale, nous avons constitué un comité de financement, composé de militants et de militantes bénévoles, et nous avons convenu des activités à organiser, des soupers à 150 $, avant d'opter, quelques années plus tard, pour un cocktail à 500 $. Le maximum permis par la loi était de 3000 $.
Nous avons aussi ajouté une formule qui s'est avérée très populaire, celle des brunchs à 50 $, qui coïncidaient avec la célébration de mon anniversaire de vie parlementaire.
À ma suggestion, l'exécutif avait accepté de mettre en place une opération «petits dons» qui consistait à solliciter tous les membres libéraux de La Pinière pour une contribution volontaire, à l'aide d'une infolettre que je signais moi-même, pour leur parler des enjeux de l'heure et des interventions de leur députée.
C'est ainsi que j'ai introduit le financement populaire, sur le plan local, qui nous a permis, à lui seul, de recueillir jusqu'à 15 000 $ par année. Par souci de transparence, je diffusais un communiqué de presse pour rendre publics les résultats de ces campagnes de financement annuelles.
Pour chacun de ces événements, il fallait remplir un formulaire de «Demande d'autorisation pour activité» et le soumettre au parti pour approbation, ainsi qu'un «Rapport financier pour activité» avec le détail des revenus et des dépenses.
Le comité des bénévoles voyait aux moindres détails d'organisation et de logistique. Chaque don était consigné sur un formulaire en quatre copies, une pour le parti, une pour l'association locale, une pour le donateur, et une pour le Directeur général des élections du Québec (DGEQ), qui lui délivrait, directement, un reçu aux fins d'impôt.
Les dons ainsi recueillis dans le comté étaient déposés directement au parti, qui les transmettait au DGEQ. Il en versait une partie à mon fonds électoral pour couvrir les dépenses, sur le plan local, lors du prochain rendez-vous électoral, et la plus grande partie de l'argent était retenue pour le fonctionnement du parti et les dépenses électorales sur le plan national. Un pourcentage des revenus générés par le membership était retourné à l'association locale pour des activités d'animation et de mobilisation. C'était la règle pour tous les comtés.
Une nouvelle culture s'installe
Avec l'arrivée de Jean Charest à la tête du Parti libéral du Québec, en 1998, la culture de financement a commencé à changer. Plusieurs visages que nous n'avions jamais vus dans nos instances auparavant vont prendre du galon au défunt siège social de la rue St-Denis.
À l'élection générale de la même année, où le Parti libéral avait subi la défaite, les tensions entre les organisateurs libéraux et conservateurs récemment débarqués avec le nouveau chef étaient telles qu'on admettait volontiers que le PLQ s'était battu lui-même.
C'est dans ce contexte que Jean Charest nous a présenté, lors d'une réunion du caucus, à l'Assemblée nationale, celui qu'il venait de nommer président de la Commission des finances du PLQ, Marc Bibeau. Il viendra nous rencontrer au caucus deux ou trois fois par année, avec sa collaboratrice, Violette Trépanier, directrice du service de recrutement et financement, et le directeur général du parti.
Le financement sectoriel
C'est en 2003, lorsque le PLQ arrive au pouvoir, que les objectifs de financement seront rehaussés, de façon vertigineuse, à 100 000 $ par année, pour chaque ministre. Les députés libéraux doivent être surpris d'apprendre, aujourd'hui, que pour certains d'entre eux, l'objectif avait atteint, voire dépassé les 150 000 $ en 2009. Des «peanuts» dira Rita de Santis, ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques.
Dans la présentation qu'on nous faisait au caucus, lors des visites de Marc Bibeau, l'essentiel portait toujours sur le financement local, avec un accent mis sur l'importance pour les députés d'atteindre les objectifs qui leur avaient été fixés.
Le financement sectoriel tenait en une seule ligne, sans autre explication, sauf pour dire qu'il relevait de la centrale du parti, donc de Jean Charest et Marc Bibeau, avec leurs proches collaborateurs à la direction du parti. Bien malin celui qui aurait prédit ce que les députés libéraux savent, aujourd'hui, de ce qui s'est tramé au parti.
La commission Charbonneau a démontré que le «fameux financement sectoriel» était en réalité donné en sous-traitance à des firmes de génie-conseil qui avaient recours à des prête-noms. Pour moi comme pour plusieurs anciens collègues députés qui avons été instruits à l'école de l'honnêteté, ces révélations étaient plus que troublantes.
En raison de mon éthique personnelle et des valeurs qui m'animent, je n'aurais jamais pensé que mon parti pourrait, un jour, recourir à de tels stratagèmes et violerait la même loi qu'il nous recommandait pourtant de respecter. Si je l'avais su, au moment des faits, je l'aurais certainement dénoncé et je n'aurais pas été la seule.
D'ailleurs, ce n'est pas la seule fois où le parti a caché la vérité à ses élus. En 2008, alors que Jean Charest touchait un salaire et des avantages de premier ministre, les députés libéraux ont appris, comme tout le monde, par les médias, que leur parti lui versait, depuis 10 ans, un salaire supplémentaire de 75 000 $ par année.
Il en va de même pour les perquisitions effectuées par l'UPAQ, au siège social du PLQ, à Montréal, en juillet 2013, sous la direction de Philippe Couillard, dont les députés n’ont appris l’existence que le 16 septembre, à la suite des révélations de Radio Canada.
Encore aujourd'hui, je me demande combien de personnes étaient impliquées dans le camouflage du financement illégal au PLQ. L'exécutif du parti était-il au courant? Avait-il autorisé de telles pratiques? Des ministres qui participaient au financement sectoriel, à 100 000 $ chacun, étaient-ils dans le coup? Ceux et celles qui ont assumé la présidence des campagnes de financement annuelles en savaient-ils quelque chose? Quelle est l'étendue des dégâts? Et puis, où est allé tout cet argent? À défaut d'un audit indépendant, seule l'UPAQ pourrait, peut-être, répondre à ces questions. C'est à suivre!
La politique est noble quand on la pratique noblement
Au-delà de l'aspect lugubre du financement sectoriel qui a été pratiqué, à des degrés divers, par les différents partis, en violation de la loi et qu'il faut condamner sans équivoque, il y a le financement local que les députés et les militants recherchent, à la base, visière levée, dans leurs circonscriptions.
Je garderai un souvenir impérissable de ces assemblées politiques où les militants et les militantes se retrouvaient pour le plaisir de participer à des débats, de faire valoir leurs idées et, à l'occasion, pour exprimer leurs désaccords quant aux orientations de leur gouvernement.
Ils étaient enthousiastes et fiers d'afficher leur appartenance au Parti libéral du Québec, un parti qui, jadis, a marqué le Québec. Leur contribution financière était faite de bonne grâce, honnêtement, pour une noble cause, celle de soutenir le rayonnement de leur parti et à travers lui, le progrès du Québec et la démocratie.
L'animation politique était d'ailleurs une de mes priorités d'action dans le comté, où j'ai instauré les cafés-rencontres de la députée, des forums de discussion non partisans, ouverts à tous, avec des conférenciers de tous les horizons, sur des enjeux locaux, nationaux et internationaux.
Cette tradition se poursuit encore aujourd'hui, à Brossard, deux ans après mon retrait de la politique active, au sein du Groupe Amis de Fatima, un forum non partisan qui se rencontre, une fois par mois, autour d'une thématique d'intérêt public. Julius Grey, Julie Latour, Arlette Cousture, Fabrice de Pierrebourg, Jean-Claude Rivest, Lise Ravary, Pascal Navarro, et le 23 avril prochain, Claude Castonguay, ont tous accepté de venir partager leurs réflexions avec des citoyens concernés par les questions d'intérêt public.
Le déni n'est pas une solution
Face à l'évidence, le PLQ et, dans une moindre mesure, le PQ et la CAQ ont accepté de rembourser au DGEQ les sommes collectées illégalement que ce dernier réclamait. Mais il restera toujours une zone d'ombre, de la suspicion envers les partis politiques, et particulièrement envers le PLQ.
Le premier ministre Couillard a choisi de se mettre la tête dans le sable, en renvoyant ces pratiques odieuses sous le tapis. Comme tout ce qui traîne se salit, il y a fort à parier que ce scandale remontera encore à la surface, par intervalles, et reviendra hanter les libéraux, jusqu'aux prochaines élections de 2018.
Tous les partis politiques ont mouillé, à des degrés divers, dans des trafics «pas très catholiques» pour leur financement illégal. Mais ce n’est pas en se réfugiant dans le déni que le gouvernement libéral fera reculer le cynisme à l'égard de la politique et des politiciens.
Si les révélations de la commission Charbonneau avaient été rendues publiques avant l'élection du 7 avril 2014, le portrait des élus à l'Assemblée nationale n'aurait pas été le même. De tous les partis représentés à l'Assemblée nationale, c'est le PLQ qui est le plus profondément affecté par cette gangrène. Étant au pouvoir, il tient sur des pattes d'argile et vit sur du temps emprunté.
50 COMMENTAIRES:
En sachant ce qu'elle savait du financement douteux que son parti effectuait, comment a t'elle pu se représenter pour ce parti en 2012?
Vous aviez choisi le parti libéral qui a toujours magouillé depuis des temps immémoriaux et vous tentez de nous faire croire que vous nagiez dans l'angélisme?Votre légitimité comme députée ne tient qu'au fait que vous bénéficiiez d'un vote monolithique .Vous nous aviez toujours nié le droit de mener notre propre destinée en vous opposant au projet souverainiste.Votre fierté de vos origines,vous nous l'avez toujours niée pour les québécois Français.Vous êtes coupable autant que les bandits qui ont mené votre parti.
Vous avez raison a moitié car le PLQ a été élu par 31 % des électeurs inscrits et qui ont votés . Donc 69 % des québécois n' ont pas voté pour les libéraux . Alors quand vous dites que LES GENS préfèrent la corruption vous ne parlez pas de la majorité . Le problème numéro UN est la division du vote francophone et le vote en bloc des anglophones et des allophones envers les libéraux peut importe la compétence et l' intégrité .
@Le Traqueur @Denis Mecteau Comme elle qui vient me dire que je n'ai pas le droit de me libérer des colonisateurs.
Une surprenante culture du silence a semble-t'il été instauré par les hautes instances du parti Libéral lors de l'arrivée de Jean Charest.
Une culture du silence qui s'apparente à celle que l'on peut observer dans certaine grande "famiglia".
Chapeau Madame Houda-Pépin !
Bravo Madame Pépin ! L' honnêteté et la transparence ne semble être des valeurs libérales depuis quelques années . Bien sûr la corruption a toujours existée et existera toujours dans les partis politiques et ailleurs car la nature humaine est complexe mais dans vos propos nous pouvons constater qu'a partir du moment ou Jean Charest est débarqué dans votre parti le financement a pris une tournure assez questionnable . La Commission Charbonneau a été mise sur pied a cause de la pression populaire et médiatique face aux odeurs nauséabondes que dégageait le gouvernement Charest . La '' machine a cash '' Charest et son bras droit Bibeau auront fait passer le financement illégale des partis a un niveau jamais égalé . Même certaines républiques de bananes doivent avoir été en admiration devant le style Charest !
Les fans libéraux inconditionnels seront très sévère a votre endroit car oser s' en prendre a la hiérarchie libéral est un crime impardonnable pour les groupies mais pour la majorité des québécois qui n' ont pas votés pour les libéraux ( 69 % de l'électorat inscrit ) vous représentée une personne honnête et intègre , deux mots qui ne semble pas très populaire dans votre ancienne maison libérale .
Journal LE DEVOIR janvier 2013 à propos d'un meeting pour la chefferie du PLQ à Concordia.
"Raymond Bachand a enfilé les gants de boxe samedi lors du troisième débat des aspirants-chefs du Parti libéral. Et il a choisi son auditoire, lors du seul débat en anglais, rappelant à Philippe Couillard ses liens avec le docteur Arthur Porter, ex-directeur général du CUSM soupçonné de fraude.
« Pendant que nous étions là à combattre la corruption, à faire des lois, qu’est-ce que tu faisais toi ? Tu t’associais avec Arthur Porter », a lancé l’ancien ministre des Finances, Raymond Bachand, s’adressant directement à son rival Philippe Couillard, alors que la salle était partagée entre les applaudissements et les huées."
Allez donc député péquiste et cessez votre rage contre le PLQ , ça ne donne plus rien, les règles ont changé et Charest est parti, maintenant le PLQ de Couillard est blanc comme neige, ça devrait vous réjouir , non ?
@Jean not Dit le néassertoi grand duc Pas facile la vérité n'est-ce pas petit homme!
@Jean not Dit le néassertoi grand duc
Est-ce que vous tentez de nous détourner du droit chemin? Et si oui, quels récompenses ou bénéfices nous offrez-vous pour ce faire?
En d'autres termes, tentez-vous de nous corrompre??
@ Dit grand duc
L'époque des prète-noms est terminé.
Qui cherchez-vous à protèger avec l'usage de faux noms ?
Encore un texte anti PLQ de Fatima.
Cela fait déjà plus de 2 ans que vous vous êtes faite expulsé du PLQ et nous pouvons tous sentir votre rancœur comme si cela était arrivé hier.
Pauvre Fatima.
Pauvre Quiroule n'amasse pas mousse. Votre commentaire n'est que de la projection. Vous n'arrivez même pas à la cheville de Mme Houda-Pepin
@Pierre Quiroule alors pierre, tous ceux qui dénoncent la corruption sont anti plq, tu fais vraiment pitié
Je suis tout ce qu'il y a de plus anti-PLQ. Mais pour vous, Madame Houda-Pépin, j'ai un grand respect. Respect pour votre transparence, respect pour votre esprit d'analyse, respect parce que vous ne vous mettez pas à genoux devant le grand gourou, respect parce que vous expliquez bien les choses, tel qu'elles sont, sans excuses. Si tous les députés quelle que soit leur allégeance était comme vous, la santé politique du Québec s'en porterait beaucoup mieux.
Amen à cela.
Homme d'affaires, j'ai été membre du PLQ pendant plus de trente ans. Je sais qu'il y a eu des abus. mais comme font les Américains, je me dois d'invoquer "le5th Amendment"
"""Le financement sectoriel tenait en une seule ligne, sans autre explication, sauf pour dire qu'il relevait de la centrale du parti, donc de Jean Charest et Marc Bibeau et proches collaborateurs."""
Le responsable, le vrai: John James Charest . M. Khadir a bien raison.
Et tous les ministres, Couillard, Normandeau, Hamad, Boulet, Beauchamp, Tomassi, Thériault, Fournier, Côté et autres ont été complices.
Excellent texte madame. Donc Amir Khadir a raison d'accuser Charest. Vous en faite autant. Quand va-t-on voir Charest inculpé?
Je noterai cette date à mon calendrier d'anniversaires et je fêterai ce jour jusqu'à mon décès...
Libérez nous des libéraux maIhonnêtes.
Mme Pépin a beaucoup de rencoeur et cela se voit dans ces écrits. Ajourd'hui les lois ont changé et cela est du passé. Regardons en avant vers le futur maintenant.
@Yo Yo Vous êtes bien rapide a effacer l'ardoise....on ne se demandera pas pourquoi....
Yo Yo, vous ce n'est pas de la rancoeur mais du fanatisme rouge fonçé que vous pratiquez.
En d'autres termes, vous êtes une grosse blague.
Quand on n'aime pas le message, on tire sur le messager. C'est archi connu mais archi poche comme défense.
La vérité choque ?
Merci Fatima pour ce texte encore et toujours des plus instructifs. Le Québec a besoin de politiciennes et de politiciens comme vous Fatima, en espérant qu'un jour, vous y reviendrai. Mes amitiés Fatima.
Marie-Andrée
Pourquoi ne suis-je pas surpris que vous teniez tant au débat démocratique?
Ce serait une excellente chose si vous poussiez votre idée de forum de discussion non-partisan à l'échelle de la province. La situation actuelle serait moins chaotique si les Québécois s'appropriaient davantage les grandes questions qui conditionnent leur quotidien et l'avenir du Québec.
Le Journal de Montréal devrait être en mesure de vous fournir une plateforme adéquate. Je demeure convaincu que, d'abord dans un désordre initial inévitable, les idées et les opinions pourraient évoluer vers un débat constructif pour peu qu'on en précise les règles et les objectifs.
Dans un autre ordre d'idée, j'imagine qu'une coquille s'est glissée dans votre phrase « Mais il restera toujours une zone d'ombre, de la suspicion envers les partis politiques, et particulièrement envers le PQ. » et que le parti que vous identifiez comme le plus "ombrageux" est le PLQ et non le PQ. Sinon, je crois que vous devriez développer l'idée un peu plus.
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Des peanuts
Ainsi, pour la ministre Rita De Santis, des objectifs de financement de 150 000 $ par ministre, avec des prête-noms à la clé, c’est «des peanuts». Comment peut-on encore parler de rétablir la confiance entre les élus et les citoyens?
Quand un parti perd son âme
Les libéraux se doutaient bien que leur parti allait perdre son âme avec l’arrivée de Jean Charest, en 1998. Ils ont été traumatisés d’apprendre, par la commission Charbonneau, que son financement sectoriel, à 100 000 $ par ministre, se faisait en violation de la loi et voilà que la ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques, trouve qu’il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Comment peut-on être si déconnectée de la réalité et de la sensibilité des gens?
Quand Jean Charest avait présenté Marc Bibeau au caucus libéral comme président de la Commission des finances du PLQ, personne parmi la députation ne se doutait des stratagèmes qui allaient suivre.
Le financement sectoriel
Dans la présentation PowerPoint qu’il nous avait alors faite, le financement sectoriel tenait en une seule ligne, sans aucune autre explication. Il relevait de la Centrale, donc de Jean Charest, Marc Bibeau, son adjointe Violette Trépanier et la direction du parti.
Députée libérale de La Pinière depuis 1994, j’ai été instruite alors, comme mes collègues du caucus, par une autre direction de ce même parti, dans le respect de la loi. Cette loi a été appliquée scrupuleusement par mon comité de financement, au niveau local, et je n’aurais jamais pensé que ce même parti pouvait, un jour, au niveau de son financement sectoriel, violer la même loi qu’il recommandait à ses députés de respecter.
Si je l’avais su avant les révélations de la commission Charbonneau, je l’aurais certainement dénoncé. Alors, entendre la ministre De Santis banaliser cette pratique à ce point, c’est tout simplement révoltant. C’est une insulte à l’intelligence des Québécois.
458 COMMENTAIRES
Bravo ! Très heureux qui vous ayez quitté le PLQ. Sans cela vous n'auriez pu nous informer si bien sur ces questions. Et dire que Mme Ravary pense que Dion a raison. Elle appelle cela de la raison d'État, de la realpolitik. L'argent a foi de tout dans notre monde dominé par la cupidité et l'individualisme extrême.