Rita De Santis appelle au meurtre d'une enseignante
Pour ma part c est inacceptable venant d une Ministre elle ce devrais être exclus des Ministères SUBITO PRESTO INACCEPTABLE !! ENCORE DU PLQ VOYEZ VOUS CA PASSERAS COMME RIEN CAR IL ON TOUS LES DROIT?
Écoutez cette vidéo et elle est tres sérieuse d autant plus cliquez cette images ICI !
Tres sérieuse elle appel le Meurtre d une enseignante de la part d une Ministre ca devrais etre exclus de la politique a jamais sans retour !!!!!!!!!!!
Trop drôle, merci Boucar de nous faire rire!
Méchante conne qui croit tous dire pour ensuite d avoir passer le messages s excuser ??? trop facile ca !!!
Écouter cette vidéo !! cliquez cette image ICI !
Doucar ta réplique à la ministre libérale Rita de Santis est sublime !
Comme toi, j’ai immigré au Québec, il y a maintenant plus de quarante ans… mais du pays voisin… le Canada… après trois générations d’exile. Pour avoir subit les affres racistes des ses amis stratégiques les Orangistes pendant deux décennies en temps que « « Nègre Blanc ! », ses paroles m’ont touché direct comme un couteau dans la patate, comme dirait Richard Desjardins.
Est-ce que quelqu’un a déjà entendu Rita de Santis, ministre responsable de l'Accès à l'information et de la Réforme des institutions démocratiques, exprimer autant « d’émotion » sur le sort des francophones-hors- Québec, aux mains de ses amis fédéralistes stratégiques les Orangistes, dans son beau Canada bilingue ?
Ce n’est pas son accent italien qui me cause problème, mais bien son manque d’intérêt envers la communauté d’accueil majoritaire du Québec. Sa biographie à l’Assemblée Nationale en est une illustration éloquente, pour ne pas dire choquante.
C’est ce genre de personne que Michèle Lalonde devait avoir en tête lorsqu’elle a rédigé son poême « Speak White ».
Ajoutée le 22 mai 2016
La ministre PLQ Rita De Santis appelle au meurtre d'une enseignante, le 20 mai 2016 à Montréal-Nord. Elle est l'actuelle ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques. Imaginons maintenant qu'un député du PQ tienne des propos analogues et dise ceci :
« Quand j'étais à l'école, mon professeur d'anglais m'a dit : "Mon cher, tu ne vas jamais réussir dans la vie, tu parles avec un accent français". Toute personne qui parlerait à un enfant comme ce professeur m'a parlé devrait être tuée, massacrée, jetée je ne sais pas où. »
Si un membre, ou un ex-membre, du PQ, avait prononcé de telles paroles, cela lui aurait-il valu une motion de blâme à l'Assemblée nationale du Québec, comme ça a été le cas pour Yves Michaud suite à la diffusion de propos qu'il n'avait d'ailleurs jamais tenus ?
Intéressante vidéo qui revient sur ce qu'on est convenu d'appeler « L'Affaire Michaud » : https://youtu.be/-t3cBgb96tU
ACTUALITÉS de la Presse :
« [ELLE] DEVRAIT ÊTRE TUÉE, MASSACRÉE, JETÉE »
LOUIS-SAMUEL PERRON
LA PRESSE
La ministre responsable de la Réforme des institutions démocratiques Rita de Santis a dérapé hier en suggérant dans une allocution qu’une personne qui tiendrait des propos racistes à un enfant devrait être « tuée, massacrée, jetée ». La ministre a par la suite dit regretter d’avoir prononcé ces mots « inacceptables et [qui] ont largement dépassé ma pensée ».
Rita de Santis s’est emportée hier midi, lors d’un discours prononcé au Rendez-vous de Montréal-Nord/Priorité jeunesse, une rencontre à laquelle participaient Denis Coderre et plusieurs élus du secteur. La ministre et députée de Bourassa-Sauvé a commis son faux pas alors qu’elle racontait son expérience d’immigrée aux dizaines de participants de la rencontre.
« Je ne suis pas née au Québec et au Canada. Je suis immigrante. Quand j’ai commencé l’école, je ne parlais ni l’anglais ni le français […] En sixième année, ma maîtresse m’a dit : “Ma chérie, tu ne vas jamais réussir dans la vie, tu parles avec un accent italien. Alors, oublie-le.” Toute personne qui parlerait à un enfant comme elle m’a parlé devrait être tuée, massacrée, jetée, je ne sais pas où », a-t-elle affirmé, ajoutant ensuite que le comportement de son ancienne enseignante était une exception.
À la suite de la conférence, la ministre a atténué ses propos, aux côtés du maire Denis Coderre. « Je suis toujours très émotive, mais voilà, j’ai dit deux mots que je n’aurais jamais dû dire, mais ce n’est pas une expérience que je veux pour les enfants. Les enfants, on ne doit jamais leur dire que tu ne vas jamais réussir. »
Puis, en début de soirée, la ministre a fait amende honorable dans un communiqué. « En aucun cas, je ne voulais encourager la violence et je suis consciente que mes propos sont inacceptables et ont largement dépassé ma pensée. […] Je pense que ces personnes, qui brisent le droit de rêver des enfants, doivent être dénoncées et en tant que mère, cela me rend très émotive lorsque j’en parle », a-t-elle déclaré.
Rita de Santis n’en est pas à sa première gaffe depuis qu’elle a accédé au Conseil des ministres en janvier dernier. Au mois d’avril, elle avait minimisé l’importance de l’objectif de financement de 150 000 $ qu’avaient certains ministres libéraux sous le gouvernement Charest. « Des peanuts », avait-elle déclaré, au sujet des sommes que devaient récolter les ministres pour financer le Parti libéral du Québec.
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