Souveraineté du Québec : Pour la 1ère République Québécoise EN QUELQUE MOTS VOUS VOYEZ DIRECTEMENT CE QUI PENSE ET CE FOU GLOBALEMENT TOUS COMME SON PÈRE MAIS LA C EST PIRE QUE JAMAIS AVEC CES RADICAUX ILS VEUT NOUS SOUMETTRE DE FORCENT ET TOUS LES MOYENS
Le beau hypocrite OUI et Traître du Canada qui veut et ca de famille depuis des décennies aplatir le Québec et ca solutions les Radicaux et extrémistes et ça de forcent nous soumettre aux pires cas mondialement reconnues comme les pires DANGER et ça massivement et leurs buts dans TOUS LES MOSQUÉES OU CE PRÉPARE TOUS CES COMPLOTS DE CETTE SECTES MONDIALEMENT RECONNUES comme non adaptable a notre pays et qui veulent nous adapter a leurs croyance Radicalismes et d intégrisme comme Charkaoui et les frères Musulmans implanter de notre pays depuis longtemps mais qui attendent le grand nombres pour ce faciliter aux attaquent et le foutisme de leurs actions contre nos citoyen(es) et de les laisser libres a leurs actions envers nous et nous soumettre de force !!
Nous sommes en guerre contre une insurrection jihadiste mondiale. Mais si tous les jihadistes sont musulmans, il faut garder à l'esprit que tous les musulmans ne sont pas jihadistes, contrairement à ce que veut nous faire croire la propagande du groupe État islamique, qui prétend parler au nom du cinquième de l'humanité.
Il y a une distinction critique à faire entre les islamistes et les musulmans nominaux (ceux qui se disent de «culture musulmane», ou ceux qui ne s'investissent pas vraiment dans leur foi, ou dont l'interprétation particulière de l'islam leur permet de se libérer de certaines prescriptions). Et là où la distinction entre islam et islamisme n'existe pas, nous devons la créer, les musulmans doivent la créer, et les non musulmans doivent insister pour qu'ils le fassent. Lorsque nous traçons la ligne de fracture entre islamisme et islam, entre islam politique et l'islam en tant que foi, en tant que religion, il convient d'inclure ce que nous appelons «intégrisme» — c'est-à-dire une pratique orthodoxe, rigoriste, de l'islam — dans le champ de la religion, et non dans celui de la politique.
Il y a une distinction critique à faire entre les islamistes et les musulmans nominaux (ceux qui se disent de «culture musulmane», ou ceux qui ne s'investissent pas vraiment dans leur foi, ou dont l'interprétation particulière de l'islam leur permet de se libérer de certaines prescriptions). Et là où la distinction entre islam et islamisme n'existe pas, nous devons la créer, les musulmans doivent la créer, et les non musulmans doivent insister pour qu'ils le fassent. Lorsque nous traçons la ligne de fracture entre islamisme et islam, entre islam politique et l'islam en tant que foi, en tant que religion, il convient d'inclure ce que nous appelons «intégrisme» — c'est-à-dire une pratique orthodoxe, rigoriste, de l'islam — dans le champ de la religion, et non dans celui de la politique.