Malgré le ton apologétique des médias, les mots d'un porte-parole de la mosquée de la Floride en présence djihadiste ISIS inspiré Omar Mateen, ont été par inadvertance perspicace.

Cette mosquée a été non seulement fréquenté par Mateen. Un autre congregant se fait exploser en Syrie tout en servant ISIS.

 

 

 

 

 

 

 

Interrogé par Erin Burnett sur CNN ce qui a été prêché à cette mosquée qui motiverait deux jeunes hommes dans la congrégation pour devenir ISIS terroristes djihadistes, son porte-parole était succinct:

"Il est comme toute autre mosquée, il est simple."

Avec ces quelques mots, ce porte-parole a reconnu implicitement ce que les critiques de la mise en place de la mosquée de l'Amérique du Nord ont dit depuis 15 ans. C'est, bon nombre d'entre eux sont des incubateurs de la haine et le djihad.

Le cirque médiatique Orlando a commencé tôt dimanche matin quelques heures du massacre.

Lors de la première conférence de presse, la police a présenté un individu en tant que porte-parole des «communautés religieuses» d'Orlando.

Il ne fut pas un chrétien, comme la plupart des victimes, mais un musulman.

En adressant aux journalistes, Muhammad Musri, président de la Société islamique de Floride centrale, semblait rejeter la faute pour l'assassiner en masse loin des djihadistes ISIS-inspirés qui ont commis ce, vers une préoccupation au sujet des fusillades de masse en général et, probablement, le soutien aux armes à feu contrôle.

Comme il le dit: «Je ... voudrais mettre en garde beaucoup dans les médias en se précipitant au jugement et au sensationnalisme l'histoire. Parce que nous ne voulons pas changer l'histoire de ce qu'elle est ... Nous espérons que ce sera l'une des dernières fusillades de masse de notre pays a été traverse. En tant que nation, nous devons nous pencher sur la question des fusillades en masse et nous devrions faire quelque chose pour arrêter les tueries qui se produisent tout le temps ".

Puis il y avait Don Lemon CNN, une ancre de télévision ouvertement gay qui, tout en parlant à un représentant du Conseil des relations américano-islamiques (CAIR) a dit: «En fait, la communauté musulmane et la communauté gay sont très proches."

Prenant la queue, Rasha Moubarak CAIR a répondu: "Absolument. Ces [Gays] font partie de ma famille. Nous avons travaillé ensemble ... Mes amis dans la communauté LGBTQ m'a dit "nous ne laisserons pas cela nous diviser; les étreintes étaient plus serré ... "

Je suis presque étouffé, considérant que, si cela peut être le point de vue de Moubarak, d'autres affiliés à CAIR se sont plaints dans le passé sur les musulmans de ne pas être en mesure d'exprimer librement leur opposition au mariage de même sexe et l'homosexualité.

Comme l'activiste kurde Ejder Memis a commenté de l'Australie sur les tentatives pour réduire au minimum les djihadistes de haine ont pour les homosexuels: «La communauté LGBT est vendu à Islamofascistes juste devant nos yeux."

De l'autre côté du globe, le diffuseur palestinien chilien Lalo Dagach a dit le mieux:

"Nous vivons maintenant dans un monde où la critique des musulmans L'homophobie est [considéré comme] l'islamophobie."

Le lundi soir, le premier ministre de l'Ontario, Kathleen Wynne, illustré le point de Dagach.

Elle a dit des centaines de deuil des morts de la Floride: «L'homophobie ne peut pas être combattu avec l'islamophobie."

La question laissée sans réponse est la suivante: Faut-il craindre l'islamophobie ou Islamofascism?

En attendant, un journal djihadiste au Pakistan a porté ce que son titre en première page: «rôtis de jeunes afghans 50 Américains."

 

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