Viols gratuit car ce son des Barbares et non des gens civilisées ce son des MONSTRES AGIR AINSI !

Viols gratuit car ce son des Barbares et non des gens civilisées ce son des MONSTRES AGIR AINSI !
Viols a cause qu'elle ne porte pas de NIQAB non mais la vas t'il falloir ce mettre a genoux devants ces barbares qu'ils ne peuvent pas regarder une femme sans vouloir la violer ????????????
 
si c'est la cas c est qui soin seulement des animaux et des bêtes et BARBARES et Trudeau a dit qui ne fallais pas les appeler des BARBARES car ce son du monde eille alloooooooooooo c est pas du monde ces gens qui on agi ainsi faut bien voir que 2+2=4
et ce son des sauvages de barbares points a la ligne et qui cherchent que des problèmes et ce foutent de nous tous et ne veulent pas s'intégrer point a la ligne il vous le disent directement et ne les croyez pas et ça mondialement !!

 

 

Le «‪#‎taharrush‬ gamea» (soit les agressions sexuelles dans les foules) est un «modus operandi connu dans les pays arabes», comme l'ont fait remarquer les autorités allemandes. La première victime connue de l'Occident fut la journaliste américaine Lara Logan. Elle raconte ici ce qui lui est arrivé en 2011 dans une foule égyptienne.

Lara Logan : «La batterie de notre caméra s'est éteinte. Et soudain Bahaa [sa liaison égyptienne] me regarde et dit: "Nous devons déguerpir d'ici".
Des hommes disaient: "Enlevons-lui son pantalon."
Je sens des mains saisir mes seins, saisir mon entrejambe, me saisir par derrière. Une personne et une autre personne et une autre personne.
Plus je criais, ça tournait en frénésie.
Mon chandail a été complètement arraché, ma chemise remontée autour de mon cou. 
J'ai senti le moment où mon soutien-gorge a déchiré. Ils ont déchiré les clips métalliques de mon soutien-gorge. Ils les ont arrachés. Et je l'ai senti à cause de l'air, j'ai senti l'air sur ma poitrine, sur ma peau.
Et je les ai senti arracher, ils ont littéralement déchiré mon pantalon en lambeaux. Et puis j'ai senti mes sous-vêtements s'en aller. 
Et je me souviens avoir levé les yeux, quand mes vêtements ont cédé, je me souviens avoir regardé en haut, et les voir prendre des photos avec leurs téléphones portables, les flash des caméras de leurs mobiles.
Je ne savais même pas qu'ils me frappaient avec des mâts et des bâtons et d'autres choses, parce que je ne pouvais même pas ressentir ça. À cause, je pense, de l'agression sexuelle, c'était tout ce que je pouvais ressentir, leurs mains qui me violaient encore et encore et encore.
- Ils vous violaient avec leurs mains?
- Oui.
- Sans arrêt. Pendant tout ce temps?
- De l'avant, de l'arrière.
Toute l'adrénaline avait quitté mon corps.
Ils s'arrachaient mon corps dans tous les sens à ce stade, déchirant mes muscles. Et ils ont essayé d'arracher des morceaux de mon cuir chevelu. Ils n'essayaient pas de tirer mes cheveux, ils tenaient de grandes liasses, essayant littéralement d'arracher le cuir chevelu de mon crâne.
Mes vêtements sont déchiquetés, je suis sale, noire de saleté, d'avoir été traînée dans la saleté.»